Faut-il encore investir en crowdfunding ?
Le crowdfunding est un mode de financement des PME françaises. Sélectionnés par des plateformes règlementées par l'Autorité des Marchés Financiers (AMF), les projets sont présentés sur Internet aux investisseurs potentiels. Ceux-ci peuvent souscrire en ligne à des actions ou des obligations. Depuis 2014, date de lancement du statut de Conseiller en Investissement Participatif (CIP), ce mode d'investissement a séduit de nombreux Français et donné un coup de pouce à beaucoup d'entreprises.
Rappelons d'entrée que si le financement participatif peut être rémunérateur (jusqu'à 10 à 12% dans l'immobilier), il ne va pas sans risque puisque comme en bourse, l'investisseur peut perdre toute sa mise si le projet n'aboutit pas. C'est notamment le cas dont idéal-investisseur.fr vous faisait part il y a quelques mois concernant la procédure de redressement judiciaire du promoteur Terlat. L'échec faisant partie du risque entrepreneurial, ceux qui décident d'investir dans des projets doivent se rappeler qu'un rendement fort est synonyme d'un risque fort, et qu'il est nécessaire de diversifier ses placements.
Mais il peut arriver également que des acteurs malhonnêtes profitent de l'engouement des français pour le financement des PME en créant de fausses plateformes de financement participatif pour récupérer des fonds. C'est ce mode de fonctionnement qui est soupçonné par la justice dans l'affaire Rifft, société dont le PDG est aujourd'hui mis en examen pour avoir détourné 4 millions d'euros. Afin de mettre les choses au clair, la Fédération du Financement Participatif monte au créneau.
Rappelons d'entrée que si le financement participatif peut être rémunérateur (jusqu'à 10 à 12% dans l'immobilier), il ne va pas sans risque puisque comme en bourse, l'investisseur peut perdre toute sa mise si le projet n'aboutit pas. C'est notamment le cas dont idéal-investisseur.fr vous faisait part il y a quelques mois concernant la procédure de redressement judiciaire du promoteur Terlat. L'échec faisant partie du risque entrepreneurial, ceux qui décident d'investir dans des projets doivent se rappeler qu'un rendement fort est synonyme d'un risque fort, et qu'il est nécessaire de diversifier ses placements.
Mais il peut arriver également que des acteurs malhonnêtes profitent de l'engouement des français pour le financement des PME en créant de fausses plateformes de financement participatif pour récupérer des fonds. C'est ce mode de fonctionnement qui est soupçonné par la justice dans l'affaire Rifft, société dont le PDG est aujourd'hui mis en examen pour avoir détourné 4 millions d'euros. Afin de mettre les choses au clair, la Fédération du Financement Participatif monte au créneau.
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