Retour sur les Panama Papers
L'affaire des Panama Papers a été révélée suite une fuite sans précédent de 11,5 millions de dossiers du quatrième plus grand cabinet d'avocats offshore au monde, Mossack Fonseca. Les documents ont été obtenus par le journal allemand Süddeutsche Zeitung qui les a immédiatement partagés avec le Consortium international des journalistes d'investigation (ICIJ). L'ICIJ l'a ensuite transmis à un vaste réseau de partenaires internationaux, notamment le Guardian et la BBC ou, en France, le journal le Monde.
Les documents montrent les innombrables manières dont les évadés fiscaux ont pu placer leur argent dans des régimes fiscaux offshore. Douze dirigeants de pays étrangers figurent dans la liste des 143 politiciens, leurs familles et leurs proches collaborateurs impliqués. "Les Panama Papers n'auront pas seulement permis aux gouvernements de retrouver des fonds cachés (...), ils auront également permis, à plus long terme, de modifier les comportements et l'attitude des citoyens", se félicite le consortium dans ce bilan d'étape.
Les entités commerciales offshore sont généralement légales et la plupart des documents ne montrent aucun comportement inapproprié ou illégal. Toutefois, des journalistes ont révélé que certaines des sociétés écran mises en place par Mossack Fonseca avaient été utilisées à des fins illégales, notamment la fraude, l'évasion fiscale et le non-respect des sanctions internationales.
Les documents montrent les innombrables manières dont les évadés fiscaux ont pu placer leur argent dans des régimes fiscaux offshore. Douze dirigeants de pays étrangers figurent dans la liste des 143 politiciens, leurs familles et leurs proches collaborateurs impliqués. "Les Panama Papers n'auront pas seulement permis aux gouvernements de retrouver des fonds cachés (...), ils auront également permis, à plus long terme, de modifier les comportements et l'attitude des citoyens", se félicite le consortium dans ce bilan d'étape.
Les entités commerciales offshore sont généralement légales et la plupart des documents ne montrent aucun comportement inapproprié ou illégal. Toutefois, des journalistes ont révélé que certaines des sociétés écran mises en place par Mossack Fonseca avaient été utilisées à des fins illégales, notamment la fraude, l'évasion fiscale et le non-respect des sanctions internationales.
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