Projets lauréats et impacts attendus
Le secteur des métiers d'art compterait actuellement environ 150.000 emplois dans 60.000 entreprises, exerçant près de 200 métiers pour un chiffre d'affaires avoisinant les 20 milliards d'euros, dont près de la moitié à l'export. Mais selon Bercy, "ce secteur souffre de son manque de structuration et de visibilité puisqu'il est en grande partie porté par de très petites entreprises hétérogènes", relèvent néanmoins Bercy et la Fondation du patrimoine.
De quoi justifier la création d'un fonds de soutien doté d'un million d'euros, destiné à soutenir des projets axés sur la restauration du patrimoine et la transmission des compétences artisanales. L'initiative reflète à la fois une volonté de préserver le patrimoine historique et touristique des communes, surtout dans les zones moins peuplées, et de préserver un vivier d'emplois et d'activité économique.
Ainsi, la première sélection des lauréats a récompensé quinze projets, principalement situés dans des communes de moins de 10 000 habitants et concernant des sites qui ne sont pas protégés au titre des monuments historiques. Ceux-ci illustrent la diversité des métiers d'art impliqués : charpentiers, couvreurs, ébénistes, ferronniers, maçons, maîtres-verriers, marqueteurs, menuisiers, et bien d'autres. Ces projets, situés tant en métropole qu'outre-mer, varient de la restauration de toitures traditionnelles à la sauvegarde de décors historiques.
Par exemple, la restauration des toitures en lauze de la ferme "La Roujarie" en Aveyron et des vitraux de l'église de Saint-Jacques-le-Majeur à Montgeron démontrent l'engagement du fonds à préserver le patrimoine architectural tout en valorisant les savoir-faire locaux.
De quoi justifier la création d'un fonds de soutien doté d'un million d'euros, destiné à soutenir des projets axés sur la restauration du patrimoine et la transmission des compétences artisanales. L'initiative reflète à la fois une volonté de préserver le patrimoine historique et touristique des communes, surtout dans les zones moins peuplées, et de préserver un vivier d'emplois et d'activité économique.
Ainsi, la première sélection des lauréats a récompensé quinze projets, principalement situés dans des communes de moins de 10 000 habitants et concernant des sites qui ne sont pas protégés au titre des monuments historiques. Ceux-ci illustrent la diversité des métiers d'art impliqués : charpentiers, couvreurs, ébénistes, ferronniers, maçons, maîtres-verriers, marqueteurs, menuisiers, et bien d'autres. Ces projets, situés tant en métropole qu'outre-mer, varient de la restauration de toitures traditionnelles à la sauvegarde de décors historiques.
Par exemple, la restauration des toitures en lauze de la ferme "La Roujarie" en Aveyron et des vitraux de l'église de Saint-Jacques-le-Majeur à Montgeron démontrent l'engagement du fonds à préserver le patrimoine architectural tout en valorisant les savoir-faire locaux.
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