Prémunir son projet de rénovation des imprévus : le rôle du commissaire de justice
63% des propriétaires envisagent un projet de rénovation pour 2023 selon les sources Insee / Fnaim / Se Loger. Reste que malgré une augmentation des aides telles que MaPrimeRénov jusqu'à 70 000 euros, il reste encore beaucoup de logements énergivores et mal isolés, en partie à cause des craintes liées aux imprévus des travaux de rénovation.
De nombreux particuliers hésitent en effet à démarrer en raison de l'angoisse suscitée par les travaux. En cause, certaines craintes comme des délais qui s'étirent, des coûts imprévus, des dégradations collatérales, des malfaçons et, dans le pire des cas, des escroqueries.
Pourtant, des solutions existent pour mieux border les travaux et se prémunir contre les risques. L'une d'entre elles consiste à faire appel à un commissaire de justice ou à un huissier. Ces officiels, au nombre de 3 700 sur tout le territoire, peuvent sécuriser les droits des acteurs du chantier : le maître d'ouvrage (le propriétaire), l'entreprise en charge des travaux, l'architecte ou les potentiels voisins affectés.
Avant le démarrage du chantier des travaux, il est ainsi possible de faire établir un constat officiel afin d'acter l'état préexistant. Ce document a une valeur légale. La démarche peut se révéler utile pour démontrer sa bonne foi et rechercher les responsabilités si un litige survient.
De nombreux particuliers hésitent en effet à démarrer en raison de l'angoisse suscitée par les travaux. En cause, certaines craintes comme des délais qui s'étirent, des coûts imprévus, des dégradations collatérales, des malfaçons et, dans le pire des cas, des escroqueries.
Pourtant, des solutions existent pour mieux border les travaux et se prémunir contre les risques. L'une d'entre elles consiste à faire appel à un commissaire de justice ou à un huissier. Ces officiels, au nombre de 3 700 sur tout le territoire, peuvent sécuriser les droits des acteurs du chantier : le maître d'ouvrage (le propriétaire), l'entreprise en charge des travaux, l'architecte ou les potentiels voisins affectés.
Avant le démarrage du chantier des travaux, il est ainsi possible de faire établir un constat officiel afin d'acter l'état préexistant. Ce document a une valeur légale. La démarche peut se révéler utile pour démontrer sa bonne foi et rechercher les responsabilités si un litige survient.
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