Le pouvoir d'achat au cœur des propositions
A tout juste 5 jours de la fin du Grand Débat National, Stanislas Guérini a annoncé la couleur : La République en Marche veut être un « aiguillon de la majorité ». Devant 600 sympathisants, trois secrétaires d'État (Brune Poirson, Adrien Taquet, Christelle Dubos) et des parlementaires réunis à Chartres, le délégué général du parti présidentiel a fait part de la contribution de son parti, notamment issus des 3500 propositions recueillies sur la plateforme du Grand Débat et sur l'Atelier des idées. Des idées qui restent néanmoins parfois loin d'être concrètes.
Parmi les pistes envisagées, Stanislas Guerini a évoqué la possibilité de « travailler un jour supplémentaire » afin de financer la dépendance. Un principe calqué sur celui de la journée de solidarité envers les personnes âgées instaurée en 2004. Affirmant qu'il fallait poursuivre les efforts pour baisser de 20 milliards d'euros par an les prélèvements obligatoires, il a également indiqué qu'une augmentation de l'IFI (Impôt sur la Fortune Immobilière) pourrait en partie les compenser.
Revenant sur une questions récurrentes des citoyens sur la faiblesse des retraites, Stanislas Guerini a fait valoir la nécessité de « revenir sur la sous-indexation des pensions pour les retraités modestes. Pour ceux- là, les retraites doivent augmenter en même temps que l'inflation ».
La députée Bénédicte Peyrol a de son côté mis sur la table l'idée d'une transformation de l'abattement fiscal de 25% pour les personnes en EHPAD en un crédit d'impôt, afin de le généraliser. Une nuance qui pourrait être importante, puisqu'en matière de fiscalité un crédit d'impôt permet d'être remboursé par l'État d'une somme décaissée, contrairement à un abattement. La député a également plaidé pour le plafonnement de l'indemnisation du chômage, « peut-être à 5000 euros ».
Plus surprenant, L'Express rapporte qu'un adhérent LREM a parlé de l'instauration d'une « contribution volontaire au pouvoir d'achat ». Elle consisterait pour chaque salarié à choisir de reverser une partie de son salaire net aux employés moins bien payés.
Parmi les pistes envisagées, Stanislas Guerini a évoqué la possibilité de « travailler un jour supplémentaire » afin de financer la dépendance. Un principe calqué sur celui de la journée de solidarité envers les personnes âgées instaurée en 2004. Affirmant qu'il fallait poursuivre les efforts pour baisser de 20 milliards d'euros par an les prélèvements obligatoires, il a également indiqué qu'une augmentation de l'IFI (Impôt sur la Fortune Immobilière) pourrait en partie les compenser.
Revenant sur une questions récurrentes des citoyens sur la faiblesse des retraites, Stanislas Guerini a fait valoir la nécessité de « revenir sur la sous-indexation des pensions pour les retraités modestes. Pour ceux- là, les retraites doivent augmenter en même temps que l'inflation ».
La députée Bénédicte Peyrol a de son côté mis sur la table l'idée d'une transformation de l'abattement fiscal de 25% pour les personnes en EHPAD en un crédit d'impôt, afin de le généraliser. Une nuance qui pourrait être importante, puisqu'en matière de fiscalité un crédit d'impôt permet d'être remboursé par l'État d'une somme décaissée, contrairement à un abattement. La député a également plaidé pour le plafonnement de l'indemnisation du chômage, « peut-être à 5000 euros ».
Plus surprenant, L'Express rapporte qu'un adhérent LREM a parlé de l'instauration d'une « contribution volontaire au pouvoir d'achat ». Elle consisterait pour chaque salarié à choisir de reverser une partie de son salaire net aux employés moins bien payés.
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