La question ADP au centre des débats
Le projet de privatisation du groupe ADP, un leader mondial dans lequel l'Etat français détient 50,63% des parts, a connu une issue inédite : 250 parlementaires de tous les horizons, du Rassemblement national aux Républicains en passant par la France insoumise, ont brandi la menace d'un référendum d'initiative partagée pour empêcher le gouvernement de vendre le groupe.
En réponse à ces menaces, le ministre de l'Economie Bruno le Maire a pris pour cible lesdits parlementaires : "Tous ceux qui se réunissent dans un attelage de circonstances pour proposer un référendum d'initiative partagée, alors que le texte n'est même pas encore voté, font le jeu des populismes et affaiblissent la démocratie représentative", a-t-il déclaré.
L'opposition décrit ce texte comme « fourre-tout » et « obèse » car contenant plus de 220 articles sur des sujets divers. D'ailleurs, le Sénat, où la majorité est de droite, a rejeté à deux reprises ce projet de loi.
En réponse à ces menaces, le ministre de l'Economie Bruno le Maire a pris pour cible lesdits parlementaires : "Tous ceux qui se réunissent dans un attelage de circonstances pour proposer un référendum d'initiative partagée, alors que le texte n'est même pas encore voté, font le jeu des populismes et affaiblissent la démocratie représentative", a-t-il déclaré.
L'opposition décrit ce texte comme « fourre-tout » et « obèse » car contenant plus de 220 articles sur des sujets divers. D'ailleurs, le Sénat, où la majorité est de droite, a rejeté à deux reprises ce projet de loi.
Commentaires