🤝 Big deal !

Un véhicule d’investissement inédit
Le Groupe Bacalan inaugure à Strasbourg son premier Club Deal Malraux, adossé à la réhabilitation de l’Hôtel d’Esther. Construit en 1886, ce bâtiment emblématique sera transformé en habitat partagé haut de gamme, avec une collecte cible de 2 M€ et un ticket d’entrée de 100 000 €. Quatre SCI distinctes, chacune baptisée du nom d’un quartier de Strasbourg, porteront l’opération.

Un levier fiscal puissant
L’offre repose sur une quote-part de travaux de 70 %, donnant droit à une réduction fiscale de 21 % (loi Malraux VIR). En combinant préservation d’un patrimoine historique et nouvelle forme de location communautaire, Bacalan se positionne sur une tendance porteuse : les jeunes actifs et étudiants privilégient la convivialité et la flexibilité.

Un univers très hétérogène
Sur les réseaux sociaux, les influenceurs financiers se multiplient. Certains sont de vrais experts, CIF agréés ORIAS et encadrés par l’AMF. Mais beaucoup s’improvisent conseillers, parfois sans aucune compétence certifiée.

Des risques accrus pour les jeunes
Les 18-24 ans sont particulièrement exposés aux promesses de gains rapides, notamment sur les cryptomonnaies. Or, il n’existe pas de rendement élevé sans risque de perte en capital. Un placement mal adapté peut compromettre des projets essentiels comme l’achat d’une résidence principale.

Un droit mal connu
Dix ans après son entrée en vigueur, la loi Hamon reste mal comprise. 57 % des automobilistes n’ont pas changé d’assureur depuis 2015, et un tiers ne l’a jamais fait. Pourtant, résilier après un an est possible à tout moment, et le nouvel assureur s’occupe des démarches.

Quand le prix motive, mais n’entraîne pas l’action
Le prix est le premier déclencheur de changement : les jeunes paient en moyenne 1 204 €/an, soit le double des plus de 25 ans. Pourtant, 41 % estiment qu’un changement n’apporterait pas d’économies. L’inertie domine, alors que les comparateurs montrent des gains potentiels jusqu’à 438 € par an.

Une vague de radiations
Le 3e trimestre enregistre 73 508 radiations (+24,9 % sur un an). Avec les radiations d’office, on atteint près de 100 000 sorties d’entreprises, un record inquiétant. À cela s’ajoutent plus de 13 000 procédures collectives et des tensions financières accrues : +19,6 % d’inscriptions de privilèges du Trésor, 36 000 injonctions de payer.

Un dynamisme paradoxal
Dans le même temps, l’esprit d’entreprendre ne faiblit pas : 145 491 nouvelles immatriculations (+11,2 %) ont été enregistrées, portées par les commerces et les micro-entreprises. Le dynamisme cache toutefois une fragilité, ces structures étant plus vulnérables en période de crise.

Un contexte géopolitique explosif
L’Europe réarme à marche forcée : l’Allemagne a voté 500 Md€ de dépenses militaires, la France consacre 2,5 % de son PIB à la Défense. Dans ce contexte, Rheinmetall, Safran et Thales deviennent les piliers d’un cycle industriel durable.

Un placement structuré et sécurisé
Le Portefeuille Défense 2025–2035 de Mon Petit Placement permet d’investir sur ces trois acteurs via un produit structuré garanti en capital à l’échéance. Il prévoit deux sorties : un rappel anticipé avec 6,5 % de coupon annuel, ou un rendement maximal de 250 % si le panier progresse à l’échéance.