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đŸ”± Fisc Ă  la cave

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La transmission des entreprises familiales vire au casse-tĂȘte, le fisc se transforme en Big Brother digital, les caves se transforment en mines fiscales bref, ce jeudi, on navigue entre hĂ©ritage, surveillance, bulles de vin et de marchĂ©.

đŸ· Passation familiale : flambeau ou fardeau ?

👉 Les entreprises familiales pĂšsent lourd dans l’économie française, mais leur succession ressemble parfois plus Ă  un thriller fiscal qu’à une saga patrimoniale.

Un poids écrasant
71 % des entreprises françaises sont familiales, reprĂ©sentant 65 % de la valeur ajoutĂ©e et 69 % de l’emploi. Et la moitiĂ© devra ĂȘtre transmise dans les dix ans. Autant dire que le tissu Ă©conomique repose sur ce passage de tĂ©moin.

Entre cƓur et cash
92 % des dirigeants veulent transmettre, et dans 83 % des cas, Ă  la famille. Mais l’ombre du pacte Dutreil plane (mobilisĂ© dans 85 % des cas). Entre Ă©galitĂ© successorale et efficacitĂ© managĂ©riale, les hĂ©ritiers jonglent entre gouvernance familiale et guerres de fratrie.

La vérité qui pique
Si l’Allemagne et l’Italie font mieux, c’est que nous restons coincĂ©s dans nos tabous fiscaux et Ă©motionnels. Et pourtant, 97 % des dirigeants sortants finissent satisfaits aprĂšs transmission. Comme un divorce qui finit en apĂ©ro de rĂ©conciliation.

Source : EY / For Talents / FBN France – Baromùtre Transmission 2025.

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BanniĂšre

đŸ€– Fisc 2.0 : quand l’IA scrute vos posts Insta

👉 Le fisc devient geek : bientît, votre villa en story Instagram pourrait valoir plus cher qu’un redressement.

Du data au Big Brother
Depuis 2014, la DGFiP teste les algos. En 2025, 50 % des contrĂŽles fiscaux seront dĂ©clenchĂ©s par IA. Avec le dĂ©cret de fin 2024, mĂȘme vos publications en ligne peuvent servir d’indices.

Déclarer ou liker ?
RĂ©sultat : un luxe affichĂ© sur les rĂ©seaux peut valoir suspicion. La DGFiP croise donnĂ©es fiscales, patrimoniales et sociales pour traquer incohĂ©rences. On est loin du contrĂŽle au hasard : bienvenue dans l’ùre du ciblage algorithmique.

Nouvelle rĂšgle du jeu
Face Ă  ça, les fiscalistes prĂŽnent la traçabilitĂ© totale : dĂ©clarations nickel, rescrits fiscaux multipliĂ©s comme airbags procĂ©duraux. Car avec l’IA, l’opacitĂ© coĂ»te dĂ©sormais bien plus cher qu’un impĂŽt dĂ».

Source : Décret n°2024-1798, DGFiP, PLF 2025.

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đŸŸ Petrus et plus-values : collection ou commerce cachĂ© ?

👉 Le Conseil d’État vient de rappeler qu’entre cave privĂ©e et business occulte, il n’y a parfois qu’un bouchon de diffĂ©rence.

Le cas d’école
Un contribuable revend 60 bouteilles de Petrus, multiplicateur x3,8 en un mois. Pour le juge, ce n’est plus une passion mais un nĂ©goce occulte, imposĂ© en BIC et non en cession occasionnelle.

Passion ou spéculation ?
Le fisc applique une grille : frĂ©quence des ventes, volume, durĂ©e de dĂ©tention, intention spĂ©culative. RĂ©sultat : le collectionneur mal organisĂ© peut basculer dans un rĂ©gime fiscal bien plus punitif (jusqu’à 45 % + pĂ©nalitĂ©s).

Leçon du millésime
Que ce soit vin, montres, art ou voitures : documenter, conserver, anticiper reste le meilleur moyen d’éviter la requalification. Sinon, vos bouteilles risquent de se transformer en addition salĂ©e.

Source : Conseil d’État 21 juillet 2025 ; CGI art. 150 VI, art. 150 UA.

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🐉 Chine : le retour du dragon boursier

👉 Longtemps jugĂ©es « non investissables », les actions chinoises font un comeback remarquĂ©. OpportunitĂ© durable ou mirage dopĂ© Ă  la liquiditĂ© ?

Pourquoi ça chauffe
AprĂšs des annĂ©es plombĂ©es par l’immobilier en crise et la rĂ©pression tech, Shanghai et Shenzhen flambent Ă  nouveau. Valorisation attractive, consommation en hausse et Ă©pargne colossale (25 000 milliards $ dĂ©posĂ©s) font tourner les tĂȘtes.

Les signaux du terrain
Les semi-conducteurs, l’IA et les Ă©nergies propres tirent le marchĂ©. Les constructeurs auto chinois dĂ©passent mĂȘme leurs rivaux mondiaux. PĂ©kin distribue du budget et pousse les rachats d’actions.

Mais prudence, hein
Surchauffe, financement sur marge et tensions gĂ©opolitiques restent dans le dĂ©cor. Le rallye actuel n’est pas une bulle, mais un excĂšs de confiance peut vite se payer. Bref, stratĂ©gie conseillĂ©e : acheter sur repli plutĂŽt que courir aprĂšs le dragon.

Source : Macrobond, Bloomberg, Indosuez WM.

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💎 Collections assurĂ©es : Hiscox mise sur l’all-in-one

👉 Et si un seul contrat suffisait pour couvrir vins, bijoux, sneakers et mĂȘme Ɠuvres créées par IA ? Hiscox tente le coup.

Un contrat pour tout
Avec Collections PrivĂ©es, l’assureur veut simplifier la vie des collectionneurs : un seul contrat, une couverture globale, une souplesse inĂ©dite. De la cave d’exception Ă  la montre hype, tout y passe.

Les bonus cachés
Couverture mondiale (mĂȘme en cas de catastrophe ou de prĂȘt Ă  musĂ©e), indemnisation sur-mesure (rĂ©parer, dĂ©laisser ou remplacer), et protection juridique intĂ©grĂ©e. Le tout dĂšs 500 €, jusqu’à 150 M€.

Un signe de tendance
DerriĂšre le marketing, un constat : l’investissement-collection se dĂ©mocratise. Les jeunes investisseurs voient dans l’art, le design ou les sneakers une diversification alternative. Hiscox surfe sur cette vague, avec une promesse : protection haut de gamme, mais simple comme un clic.

Source : Hiscox, lancement « Collections Privées » octobre 2025.

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🎯 A demain, mĂȘme heure, mĂȘme rigueur.

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