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La rentrĂ©e sâannonce salĂ©e pour des milliers de loueurs en meublĂ© qui ont oubliĂ© une formalitĂ© pourtant essentielle : sâimmatriculer Ă lâINPI. Un simple oubli⊠qui pourrait leur coĂ»ter cher â et priver les communes de plusieurs millions dâeuros de recettes.
DerriĂšre la simplicitĂ© du rĂ©gime micro-BIC se cache une bombe fiscale : des milliers de bailleurs oublient encore de sâimmatriculer, au risque de perdre gros et de priver leurs communes de recettes.
Pourquoi câest un sujet.PrĂšs dâun loueur en meublĂ© sur trois en France nâest pas immatriculĂ© Ă lâINPI, selon les donnĂ©es croisĂ©es de la DGFIP et du rĂ©pertoire SIRENE. Soit environ 350 000 activitĂ©s fantĂŽmes, souvent logĂ©es sous le rĂ©gime micro-BIC.
Ce que cela implique.Sans numĂ©ro de SIRET, pas de CFE, pas de traçabilitĂ© fiscale, et un vrai risque de perte de dĂ©ductions lors du passage au rĂ©el. « Une erreur de date dâactivitĂ© peut coĂ»ter cher en charges non dĂ©ductibles », alerte Baptiste Bochart (JĂ©dĂ©claremonmeublĂ©.com).
Le manque Ă gagner collectif.Les communes perdent plus de 85 millions dâeuros de recettes potentielles de CFE. Une solution simple serait dâexiger le numĂ©ro SIRET pour toute dĂ©claration de revenus locatifs.
Source : JD2M, DGFIP
LâEurope veut son « Airbus du spatial » : une fusion inĂ©dite entre Airbus, Thales et Leonardo pourrait enfin donner naissance Ă un champion continental capable de rivaliser avec SpaceX.
Pourquoi ça compte.Les trois gĂ©ants europĂ©ens sâallient pour crĂ©er un groupe unique pesant 6,5 milliards dâeuros de chiffre dâaffaires et 25 000 salariĂ©s. Objectif : rivaliser avec SpaceX et Lockheed Martin.
Ce que cela dit.Cette consolidation, centrée à Toulouse, unifie la R&D et les services satellitaires, tout en renforçant la souveraineté technologique européenne. Mais le projet devra convaincre Bruxelles, prudente sur les rÚgles de concurrence.
Et ensuite ?Les synergies industrielles sont prometteuses, mais la rentabilitĂ© nâest pas attendue avant 2027â2028. Une Ă©tape clĂ© vers un « Airbus du spatial » crĂ©dible.
Source : eToro / Antoine Fraysse-Soulier
Contre toute attente, le PIB français accĂ©lĂšre : +0,5 % au troisiĂšme trimestre, portĂ© par lâaĂ©ronautique et les exportations, mĂȘme si la consommation des mĂ©nages reste en panne.
Pourquoi ça compte.MalgrĂ© la crise politique, la croissance française a accĂ©lĂ©rĂ© Ă +0,5 % au T3, portĂ©e par lâinvestissement (+0,4 %) et les exportations (+2,2 %).
Ce que cela rĂ©vĂšle.La production industrielle bondit (+1,1 %), tirĂ©e par lâaĂ©ronautique et la chimie, mais la consommation reste atone (+0,1 %). Les mĂ©nages Ă©pargnent toujours massivement.
Le signal fort.Les exportations aĂ©ronautiques et pharmaceutiques soutiennent le PIB. Lâobjectif annuel de +0,8 % reste atteignable, malgrĂ© la prudence des mĂ©nages et la dette publique.
Source : INSEE, Cercle de lâĂpargne
AprĂšs la tempĂȘte de 2023-2024, la pierre-papier retrouve des couleurs : collecte en hausse, rendements solides et fiscalitĂ© lisible, la SCPI sâimpose Ă nouveau comme lâactif refuge des Ă©pargnants.
Pourquoi ça compte.AprĂšs la tempĂȘte 2023â2024, la collecte nette bondit de +29 % au premier semestre 2025 (2,2 MdâŹ). Rendement moyen : 4,72 %, certaines SCPI dĂ©passant 5â6 %.
Ce que cela dit.Les SCPI rede viennent un outil de long terme, alliant diversification, rendement et fiscalitĂ© maĂźtrisĂ©e. Elles retrouvent leur attrait dans un monde post-inflation oĂč le Livret A plafonne Ă 1,7 %.
Le mot dâexpert.« Nous entrons dans une phase de normalisation bĂ©nĂ©fique », analyse FrĂ©dĂ©ric Augusto (Finzzle). Lâenjeu : sĂ©lectionner les bons vĂ©hicules et diversifier entre thĂ©matiques et sociĂ©tĂ©s de gestion.
Source : FinzzleGroupe / ASPIM-IEIF
MalgrĂ© les taux et les incertitudes, les prix de lâimmobilier ancien repartent Ă la hausse. Les marges de nĂ©gociation explosent, mais la demande, elle, rĂ©siste mieux quâattendu.
Pourquoi ça compte.En septembre, le prix moyen du mÂČ dans lâancien atteint 3 377 âŹ, en hausse de +1,7 % sur un an. Le neuf recule lĂ©gĂšrement (â0,9 %).
Ce que cela rĂ©vĂšle.La marge de nĂ©gociation grimpe Ă 8,9 %, au plus haut depuis 2012, tandis que les ventes progressent de +16 % sur neuf mois, encore 20 % sous le niveau 2017â2019.
Les contrastes rĂ©gionaux.Paris reste Ă 10 840 âŹ/mÂČ, mais des Ă©carts spectaculaires subsistent : franchir le pĂ©riphĂ©rique fait chuter les prix de 15 Ă 55 %. Les grandes mĂ©tropoles stabilisent leur marchĂ©, avec un regain dâactivitĂ© en Aquitaine et PACA.
Source : BaromĂštre LPI-iad â Octobre 2025
Ă demain, mĂȘme heure, mĂȘme rigueur.