Une rémunération liée à la transformation de l'entreprise
Les actionnaires de Stellantis, groupe qui détient 14 marques dont Peugeot, Citroën et Chrysler, ont approuvé la rémunération de Carlos Tavares, directeur général du groupe, avec 70,2% des voix. Le dirigeant de 65 ans devrait donc toucher 36,5 millions d'euros au titre de 2023, montant incluant une prime de 10 millions d'euros liée à des initiatives de transformation de l'entreprise. L'essentiel de cette rémunération sera vraisemblablement versé sous forme d'actions.
Sitôt connu, le projet de rémunération a suscité un vif débat. La hausse de 56% par rapport à l'année précédente a été pointée du doigt dans un contexte où Stellantis poursuit des restructurations comprenant des licenciements significatifs, en France mais également en Italie et aux Etats-Unis. Ces mesures, prises dans le cadre de la stratégie de transformation de l'entreprise visant à améliorer sa compétitivité et son adaptation aux nouvelles technologies et aux exigences environnementales, ont soulevé des questions sur l'équité et la justesse de récompenser aussi généreusement le haut dirigeant.
Sitôt connu, le projet de rémunération a suscité un vif débat. La hausse de 56% par rapport à l'année précédente a été pointée du doigt dans un contexte où Stellantis poursuit des restructurations comprenant des licenciements significatifs, en France mais également en Italie et aux Etats-Unis. Ces mesures, prises dans le cadre de la stratégie de transformation de l'entreprise visant à améliorer sa compétitivité et son adaptation aux nouvelles technologies et aux exigences environnementales, ont soulevé des questions sur l'équité et la justesse de récompenser aussi généreusement le haut dirigeant.
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