Le déficit budgétaire de la ville devrait s'envoler en 2021
L'épidémie mondiale de coronavirus et les confinements engendrent une crise économique majeure, dont les conséquences exactes ne sont pas encore connues. Outre les entreprises et commerçants, les finances publiques devraient également être lourdement impactées. Le budget des communes, et notamment celui de la ville de Paris, ne vont pas être épargnés.
D'une part, les recettes fiscales sont vouées à mécaniquement baisser, en lien direct avec la basse d'activité économique. D'autre part, les dépenses d'urgence vont venir augmenter les dépenses de la ville : achat de masques, création des pistes cyclables « coronapistes », aide aux entreprises et commerces, création des centres de dépistage...
Selon une lettre adressée par la mairie au Premier ministre Jean Castex le 6 octobre, « les marges de manœuvre sont extrêmement réduites ». La dette de la ville de Paris devrait s'envoler en 2021, passant de 6,1 à 7,1 milliards d'euros.
Si Anne Hidalgo avait promis durant sa campagne de ne pas augmenter les impôts des Parisiens, plusieurs projets sont en cours, dont l'augmentation des frais de notaire, de la taxe d'habitation sur les résidences secondaires et de la taxe de séjour sur les locations meublées touristiques. La taxe foncière ne devrait pas être modifiée.
D'une part, les recettes fiscales sont vouées à mécaniquement baisser, en lien direct avec la basse d'activité économique. D'autre part, les dépenses d'urgence vont venir augmenter les dépenses de la ville : achat de masques, création des pistes cyclables « coronapistes », aide aux entreprises et commerces, création des centres de dépistage...
Selon une lettre adressée par la mairie au Premier ministre Jean Castex le 6 octobre, « les marges de manœuvre sont extrêmement réduites ». La dette de la ville de Paris devrait s'envoler en 2021, passant de 6,1 à 7,1 milliards d'euros.
Si Anne Hidalgo avait promis durant sa campagne de ne pas augmenter les impôts des Parisiens, plusieurs projets sont en cours, dont l'augmentation des frais de notaire, de la taxe d'habitation sur les résidences secondaires et de la taxe de séjour sur les locations meublées touristiques. La taxe foncière ne devrait pas être modifiée.
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