Calculer la rentabilité d'un investissement immobilier
Le calcul de la rentabilité locative est différent pour chaque logement. Il nécessite tout d'abord de connaître le loyer applicable au bien visé. Celui-ci dépend en grande partie de son emplacement, de sa surface et de sa qualité.
Pour valider le loyer potentiel dans l'ancien, vous pouvez par exemple demander l'avis de plusieurs agences locales. Vous pouvez également faire votre propre étude du marché locatif dans le secteur que vous visez : consultez des annonces de biens similaires à louer dans le même secteur géographique, ainsi que des sites spécialisés comme Clameur.
Pour les achats en immobilier neuf, les promoteurs fournissent souvent l'étude locative d'un gestionnaire, qui garantit le niveau de loyer dans le cas de la signature d'un mandat de gestion.
Calcul de la rentabilité locative brute :
Prenez le loyer annuel (hors charges), et divisez-le par le prix de revient du bien (prix d'achat + frais de notaire + travaux éventuels). En multipliant le tout par 100, vous obtenez un taux de rentabilité brute pour l'investissement locatif.
Attention, vous devez arriver à 3% de rentabilité minimum pour considérer l'investissement comme potentiellement intéressant.
Exemple pour un investissement dans un T2 de 42 m² :
Prix de revient : 200 000 euros, frais de notaire, d'agence, et travaux inclus
Loyer annuel possible selon étude de marché : 630 euros x 12 mois = 7.560 euros
Rentabilité brute : 7560 / 200 000 x 100 = 3,78% par an
Cet investissement peut a priori être intéressant : il dépasse les taux actuels des livrets et assurances-vie sans risque sur lesquels vous pourriez placer votre argent. Cette étape validée, il est possible de descendre dans le détail et être plus précis. On inclue alors les frais inhérents à l'investissement pour calculer votre rentabilité nette de charges : impôts locaux, frais de gestion, charges non récupérables... La fiscalité globale d'un investissement locatif doit également être prise en compte : taxe foncière, prélèvements sociaux... Tenez compte également des avantages fiscaux éventuels, comme une acquisition dans l'immobilier neuf en loi Pinel par exemple.
Pour valider le loyer potentiel dans l'ancien, vous pouvez par exemple demander l'avis de plusieurs agences locales. Vous pouvez également faire votre propre étude du marché locatif dans le secteur que vous visez : consultez des annonces de biens similaires à louer dans le même secteur géographique, ainsi que des sites spécialisés comme Clameur.
Pour les achats en immobilier neuf, les promoteurs fournissent souvent l'étude locative d'un gestionnaire, qui garantit le niveau de loyer dans le cas de la signature d'un mandat de gestion.
Calcul de la rentabilité locative brute :
Prenez le loyer annuel (hors charges), et divisez-le par le prix de revient du bien (prix d'achat + frais de notaire + travaux éventuels). En multipliant le tout par 100, vous obtenez un taux de rentabilité brute pour l'investissement locatif.
Attention, vous devez arriver à 3% de rentabilité minimum pour considérer l'investissement comme potentiellement intéressant.
Exemple pour un investissement dans un T2 de 42 m² :
Prix de revient : 200 000 euros, frais de notaire, d'agence, et travaux inclus
Loyer annuel possible selon étude de marché : 630 euros x 12 mois = 7.560 euros
Rentabilité brute : 7560 / 200 000 x 100 = 3,78% par an
Cet investissement peut a priori être intéressant : il dépasse les taux actuels des livrets et assurances-vie sans risque sur lesquels vous pourriez placer votre argent. Cette étape validée, il est possible de descendre dans le détail et être plus précis. On inclue alors les frais inhérents à l'investissement pour calculer votre rentabilité nette de charges : impôts locaux, frais de gestion, charges non récupérables... La fiscalité globale d'un investissement locatif doit également être prise en compte : taxe foncière, prélèvements sociaux... Tenez compte également des avantages fiscaux éventuels, comme une acquisition dans l'immobilier neuf en loi Pinel par exemple.
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