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On croyait l’IA réservée aux gérants quantitatifs. Désormais, ce sont les particuliers qui s’en emparent : près d’un sur cinq l’utilise déjà pour piloter ses placements. Pendant que les marchés marquent une pause et que l’immobilier reprend timidement son souffle, la vraie rupture est peut-être là : l’IA change la manière d’investir.
Un repli qui ressemble plus à un temps mort qu’à un signal d’alerte.
Pourquoi c’est cléLe S&P 500 a signé sa pire semaine depuis deux mois. Entre crainte d’un shutdown américain, droits de douane et tensions budgétaires en Europe, les investisseurs lèvent le pied.
Ce qu’il faut retenirL’histoire montre que les fermetures de l’administration US pèsent peu sur Wall Street. Avec des baisses de taux en vue et une consommation américaine toujours solide, Invesco parle d’une simple consolidation, pas d’un retournement.
La mise en perspectiveCes reculs sont vus comme une respiration normale. Les prochains mois resteront volatils, mais le scénario central demeure celui d’un soutien monétaire et d’une croissance résiliente.
Source : Invesco
Les particuliers adoptent l’IA à un rythme spectaculaire.
Pourquoi c’est cléEn un an, l’usage de l’IA par les investisseurs particuliers a bondi de 46 %. Les jeunes générations s’y engagent massivement, mais même les baby-boomers commencent à suivre.
Ce qu’il faut retenirCes outils deviennent un assistant de portefeuille, capable de détecter des tendances et d’aider aux arbitrages. 55 % des investisseurs parient sur une hausse des actions liées à l’IA en 2025, preuve qu’ils croient autant à la technologie qu’à ses gains financiers.
La mise en perspectiveL’IA n’est pas un gadget. Mais elle impose un apprentissage : comprendre les algorithmes, évaluer les données, intégrer les limites. Pour eToro, « ce n’est pas un effet de mode », mais une révolution durable.
Source : eToro
L’économie mondiale encaisse les chocs sans casser.
Pourquoi c’est cléLa croissance mondiale se maintient au-dessus de 3 %. Les États-Unis ont surpris avec un PIB à +3,8 % au T2, et l’Europe bénéficie encore de la politique monétaire conciliante de la BCE.
Ce qu’il faut retenirLa Fed a baissé ses taux malgré une inflation tenace. En Europe, les plans d’investissement doivent encore porter leurs fruits. La Chine, à près de 5 %, reste fragile faute de relance budgétaire.
La mise en perspectiveRésultats d’entreprises solides, notamment dans la tech, soutiennent la dynamique. La trajectoire dépendra de l’équilibre sino-américain et du réveil de l’Allemagne.
Source : analyses de marché
Revendre en 2025 n’a pas la même saveur selon l’année d’achat.
Pourquoi c’est cléLe marché reprend timidement (+0,1 % en septembre), mais la valeur patrimoniale varie fortement selon la date d’acquisition.
La mise en perspectivePour SeLoger, l’immobilier se construit dans la durée. La correction bloque certains vendeurs récents, mais la tendance de fond redevient positive.
Source : SeLoger & Meilleurs Agents
Un petit sursaut, sans quoi que ce soit d’inquiétant.
Pourquoi c’est cléL’inflation en zone euro remonte à 2,2 % en septembre. Un chiffre attendu, lié aux effets de base plus qu’à un vrai emballement des prix.
Ce qu’il faut retenirL’inflation sous-jacente reste stable à 2,3 %. Les services accélèrent légèrement, mais les prix alimentaires ralentissent. Pour DWS, la BCE peut garder ses taux inchangés en octobre.
La mise en perspectiveL’inflation pourrait même passer sous les 2 % temporairement avant de se stabiliser. La BCE reste dans une position de confort.
Source : DWS
Ă€ demain, mĂŞme heure, mĂŞme rigueur