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Le cafard s’invite dans la mine. Jamie Dimon, le patron de JP Morgan, a choisi cette image peu reluisante pour décrire la faillite de Tricolor Holdings, spécialiste américain du crédit auto subprime. Une chute qui rappelle de mauvais souvenirs à Wall Street. Et si, mine de rien, les fissures du capitalisme à crédit revenaient par la petite porte ?
Pourquoi c’est un signalLa faillite de Tricolor Holdings, spécialiste du crédit auto subprime, rappelle les prémices de 2008 : prêts distribués sans vérification, défauts massifs, et exposition de grandes banques – JP Morgan, UBS, Barclays, Jefferies – à ces acteurs fragiles. Le PDG de JP Morgan, Jamie Dimon, y voit un “cafard dans la mine”, c’est-à -dire un signe avant-coureur de crise.
Ce que cela dit du marchéSelon la Banque d’Angleterre, les financements privés reprennent aujourd’hui les mêmes schémas qu’avant la crise financière : découpage et titrisation de prêts risqués. Le FMI s’en inquiète : les banques mondiales sont exposées à hauteur de 4 500 milliards $ aux institutions non bancaires, un volume “systémique”.
Pourquoi ça compteMême si ces faillites paraissent isolées, elles rappellent qu’une bulle se forme toujours dans l’indifférence. Pour l’investisseur, le danger n’est pas la panique, mais l’excès d’optimisme.
Source : La Financière de l’Échiquier
Noir, gris ou blanc : les teintes les plus sages ne le sont pas tant que ça.
Les chiffres parlentSelon Leocare, 64,7 % des sinistres concernent des voitures noires ou grises. Les premières subissent davantage de vols et vandalismes (38,9 %), les secondes plus de bris de glace (32,2 %). À l’inverse, les véhicules rouges, accusés de tous les excès, ne présentent aucune sur-accidentologie.
Pourquoi cette corrélationLe noir et le gris dominent le marché et les flottes premium (Audi, BMW, Mercedes…). Ces voitures, souvent stationnées en zones denses, sont plus exposées à la malveillance. Les voitures blanches, couleur des pros, concentrent les accrochages avec tiers (58,4 %), reflet d’un usage intensif.
Ce que cela ditLes teintes claires roulent plus, les foncées coûtent plus : tout est affaire de contexte, pas de couleur “maudite”.
Source : Leocare
Luxe, lac et montagnes : le triangle d’or immobilier du moment.
Un marché en plein essorAvec un prix médian de 6 150 €/m², en hausse de +33 % en cinq ans, Annecy s’impose comme l’une des destinations les plus prisées du luxe français. Les biens avec vue sur le lac dépassent les 10 000 €/m².
Où investirLes secteurs stars : Annecy-le-Vieux et Albigny (calme et prestige), Vieille Ville (patrimoine et commerces), Parmelan et Pommaries (résidentiel et accessibilité). Les acheteurs viennent de Paris, Lyon, Genève mais aussi des États-Unis, Royaume-Uni ou Pays-Bas.
Pourquoi ça attireEntre qualité de vie, sécurité, et dimension éco-responsable, Annecy coche toutes les cases de l’investissement refuge.
Source : Kretz Real Estate
Les jeunes swipent, les seniors résistent.
Ce que montre l’étudeD’après Ingenico, 88 % des consommateurs comprennent le Buy Now Pay Later, mais 73 % ne l’ont pas encore utilisé. Les générations Y et Z plébiscitent les paiements instantanés et les solutions mobiles.
Les oubliés du digitalChez les plus de 65 ans, 73 % préfèrent toujours payer en magasin. La fermeture des agences et la raréfaction des distributeurs automatiques soulèvent un vrai enjeu d’inclusion financière.
Le futur du paiementBiométrie, IA générative, expérience fluide : l’innovation avance, mais 65 % des clients n’ont pas encore testé ces solutions. L’argent liquide n’a pas dit son dernier mot.
Source : Ingenico
Pas de miracle, mais un vrai retour Ă la raison.
Le marché se réveilleAprès trois ans de crise, l’immobilier retrouve des couleurs. Les taux se stabilisent à 3,12 %, les transactions repartent (+11 % à 940 000 ventes attendues) et la correction des prix s’atténue.
Un cadre fiscal stableLe PLF 2026 n’apporte ni révolution ni choc fiscal, mais quelques ajustements : abattement micro-foncier porté à 50 %, et restriction des amortissements en meublé. Une stabilité bienvenue pour les investisseurs prudents.
La bonne stratégiePour Grégory Beurrier (Expertimo), “le bon moment pour investir n’est pas celui du plus bas, mais celui où le marché devient prévisible”. Place donc à la sélectivité : emplacement, qualité, potentiel locatif.
Source : Expertimo