Le PGE, dispositif de Prêt Garanti par l'État, a été mis en place au début de la pandémie pour aider les entreprises à faire face à la crise. Initialement, il devait prendre fin le 30 juin prochain. Bruno Le Maire, ministre de l'Économie, a annoncé qu'il serait finalement prolongé jusqu'à la fin de l'année.
Les restrictions liées à la pandémie ont provoqué une perte de chiffre d'affaires pour de nombreuses entreprises, l'activité économique ayant ralenti bien au-delà des secteurs subissant des fermetures administratives. Lorsque le montant de leurs charges finit par dépasser celui de leurs recettes, elles commencent par puiser dans leur trésorerie, c'est-à-dire l'argent disponible sur leurs comptes bancaires. Une fois vidés, elles ne peuvent plus faire face à toutes leurs factures et au paiement de leurs salariés.
Pour financer le manque de trésorerie engendré par la crise, les entreprises faisant face à des difficultés peuvent, depuis le début de la pandémie, demander un crédit à leur établissement bancaire. Celui-ci peut être garanti par l'État à hauteur de 90%.
Concrètement, l'argent est prêté par la banque comme lors de tout crédit bancaire. Seule différence : l'État se porte garant du remboursement d'une grande partie de cette dette. Autrement dit, si l'entreprise fait faillite, la banque pourra récupérer 90% du montant prêté auprès de lui.
Le dispositif de Prêt Garanti par l'État (PGE) est destiné à faciliter le recours au crédit bancaire puisque le risque de non-remboursement est très réduit. Il a déjà permis de financer 675.000 entreprises.
Les restrictions liées à la pandémie ont provoqué une perte de chiffre d'affaires pour de nombreuses entreprises, l'activité économique ayant ralenti bien au-delà des secteurs subissant des fermetures administratives. Lorsque le montant de leurs charges finit par dépasser celui de leurs recettes, elles commencent par puiser dans leur trésorerie, c'est-à-dire l'argent disponible sur leurs comptes bancaires. Une fois vidés, elles ne peuvent plus faire face à toutes leurs factures et au paiement de leurs salariés.
Pour financer le manque de trésorerie engendré par la crise, les entreprises faisant face à des difficultés peuvent, depuis le début de la pandémie, demander un crédit à leur établissement bancaire. Celui-ci peut être garanti par l'État à hauteur de 90%.
Concrètement, l'argent est prêté par la banque comme lors de tout crédit bancaire. Seule différence : l'État se porte garant du remboursement d'une grande partie de cette dette. Autrement dit, si l'entreprise fait faillite, la banque pourra récupérer 90% du montant prêté auprès de lui.
Le dispositif de Prêt Garanti par l'État (PGE) est destiné à faciliter le recours au crédit bancaire puisque le risque de non-remboursement est très réduit. Il a déjà permis de financer 675.000 entreprises.
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