L'épidémie de coronavirus, apparue en Chine en décembre avant de se propager à plus de 200 pays, a fait plus de 13.000 morts en France où elle a provoqué, comme dans de nombreux autres pays, un choc économique avec un effondrement historique prévu de 6% du PIB en 2020.
Face à ce qui serait la pire récession enregistrée dans l'Hexagone depuis 1945, le gouvernement a annoncé vendredi que le plan de soutien à l'économie serait porté à 100 milliards d'euros contre 45 milliards initialement prévus, en additionnant la totalité des mesures budgétaires et de trésorerie en faveur des entreprises.
Un soutien qui s'inscrit dans la ligne fixée par Emmanuel Macron qui a assuré mi-mars que tout serait mis en oeuvre pour "sauver des vies" et pour "protéger salariés et entreprises" et ce "quoi qu'il en coûte".
Si les mesures prises par l'exécutif pour parer à la crise dans l'immédiat sont claires, celles envisagées pour "l'après" restent elles encore floues même si certains ministres semblent préparer le terrain depuis plusieurs jours à des "efforts" à venir.
"Le choix de l'endettement est provisoire pour atténuer l'impact économique de l'épidémie de coronavirus et "il faudra faire des efforts" pour réduire la dette de la France une fois cette crise sanitaire passée, a prévenu vendredi le ministre de l'Economie Bruno Le Maire.
Un message répété samedi par la secrétaire d'Etat à l'Economie, Agnès Pannier-Runacher. "Il faudra probablement travailler plus que nous ne l'avons fait avant. Il faudra mettre les bouchées doubles pour créer de la richesse collective", a-t-elle dit sur franceinfo.
Face à ce qui serait la pire récession enregistrée dans l'Hexagone depuis 1945, le gouvernement a annoncé vendredi que le plan de soutien à l'économie serait porté à 100 milliards d'euros contre 45 milliards initialement prévus, en additionnant la totalité des mesures budgétaires et de trésorerie en faveur des entreprises.
Un soutien qui s'inscrit dans la ligne fixée par Emmanuel Macron qui a assuré mi-mars que tout serait mis en oeuvre pour "sauver des vies" et pour "protéger salariés et entreprises" et ce "quoi qu'il en coûte".
Si les mesures prises par l'exécutif pour parer à la crise dans l'immédiat sont claires, celles envisagées pour "l'après" restent elles encore floues même si certains ministres semblent préparer le terrain depuis plusieurs jours à des "efforts" à venir.
"Le choix de l'endettement est provisoire pour atténuer l'impact économique de l'épidémie de coronavirus et "il faudra faire des efforts" pour réduire la dette de la France une fois cette crise sanitaire passée, a prévenu vendredi le ministre de l'Economie Bruno Le Maire.
Un message répété samedi par la secrétaire d'Etat à l'Economie, Agnès Pannier-Runacher. "Il faudra probablement travailler plus que nous ne l'avons fait avant. Il faudra mettre les bouchées doubles pour créer de la richesse collective", a-t-elle dit sur franceinfo.
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