Quelles vignes acheter ?
L'achat d'une propriété viticole demeure un rêve pour beaucoup de personnes. Est-ce grâce au rapport si particulier à la terre ou au lien profond que la culture de la vigne entretien avec le terroir et l'Histoire ?
En tous cas, il ne faut pas oublier qu'acheter des vignes, c'est avant tout investir dans une exploitation agricole. Cela suppose donc de pouvoir produire et vendre. La rentabilité de ce type d'acquisition reste fortement liée à la capacité à commercialiser ses bouteilles de vin à un certain niveau de prix et à maîtriser son réseau de distribution.
Ceux qui réussissent se sont surtout tournés vers l'acquisition de parcelles permettant d'afficher une appellation d'origine contrôlée (AOC). Pour les plus fortunés, en AOP les domaines les plus chers peuvent dépasser 1,5 million d'euros l'hectare. La plupart des terres sont bien plus abordables, avec une moyenne qui tourne autour de 150.000 euros par hectare. S'installer dans un site relevant d'une appellation moins connue n'est d'ailleurs pas synonyme d'échec. Mais l'affaire peut mettre plus de temps à trouver son équilibre.
Dans tous les cas, l'exploitation d'une propriété viticole est un métier à part. Comme toutes les activités agricoles, elle dépend de paramètres non-maîtrisables comme la météo et la nature. Le volume de production peut être beaucoup impacté par les aléas climatiques et le rythme propres aux vignes. Mais c'est peut-être aussi cela que recherchent les « néo-vignerons » : vivre en communauté avec la nature et apprendre doucement à la domestiquer, grâce à leur activité à mi-chemin entre l'artisanal et l'industriel.
En tous cas, il ne faut pas oublier qu'acheter des vignes, c'est avant tout investir dans une exploitation agricole. Cela suppose donc de pouvoir produire et vendre. La rentabilité de ce type d'acquisition reste fortement liée à la capacité à commercialiser ses bouteilles de vin à un certain niveau de prix et à maîtriser son réseau de distribution.
Ceux qui réussissent se sont surtout tournés vers l'acquisition de parcelles permettant d'afficher une appellation d'origine contrôlée (AOC). Pour les plus fortunés, en AOP les domaines les plus chers peuvent dépasser 1,5 million d'euros l'hectare. La plupart des terres sont bien plus abordables, avec une moyenne qui tourne autour de 150.000 euros par hectare. S'installer dans un site relevant d'une appellation moins connue n'est d'ailleurs pas synonyme d'échec. Mais l'affaire peut mettre plus de temps à trouver son équilibre.
Dans tous les cas, l'exploitation d'une propriété viticole est un métier à part. Comme toutes les activités agricoles, elle dépend de paramètres non-maîtrisables comme la météo et la nature. Le volume de production peut être beaucoup impacté par les aléas climatiques et le rythme propres aux vignes. Mais c'est peut-être aussi cela que recherchent les « néo-vignerons » : vivre en communauté avec la nature et apprendre doucement à la domestiquer, grâce à leur activité à mi-chemin entre l'artisanal et l'industriel.
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