Certains travaux sont déductibles des revenus fonciers
Si vous êtes déjà propriétaire d'un logement destiné à la location, sa rénovation peut vous mener à réduire le montant de votre impôt sur le revenu. Pour cela, le logement doit être loué sans meubles, les loyers doivent être imposés dans la catégorie des revenus fonciers (les locations meublées sont exclues), et vous devez opter pour le régime réel d'imposition.
La majorité des dépenses liées à l'amélioration de l'habitation, à son entretien et aux réparations sont déductibles. Cela peut correspondre à tous les travaux qui ont pour but de remettre le bien en état ou de l'embellir pour faciliter la recherche de locataires. Il s'agit par exemple du changement de la chaudière, de la réfection de la toiture, de la refonte de l'installation électrique ou de la plomberie, de l'installation d'une baignoire ou d'une douche, de la peinture, de la réfection du sol ou de la pose de nouveaux volets...
Les travaux d'amélioration de l'habitat peuvent également venir réduire le montant imposable dans la catégorie des revenus fonciers. Ils correspondent par exemple à l'achat de nouveaux équipements destinés à un meilleur confort, tels que la mise en place d'une VMC dans une salle de bain ou une cuisine, le changement des fenêtres pour de meilleures performances énergétiques ou l'installation d'un ascenseur dans les parties communes.
Les travaux effectués dans les parties communes d'une copropriété sont également déductibles. Mais pas les travaux qui ont été à la charge des locataires. De même, dès que les travaux portent sur une modification conséquente de la structure du bâtiment, ils ne sont plus imputables sur les revenus fonciers. Il s'agit par exemple de l'agrandissement du logement ou du réaménagement total de son agencement intérieur.
Les travaux ne sont pas les seules charges déductibles. Les contribuables peuvent également imputer les frais de gestion et de recherche de locataires, les assurances comme la garantie contre les loyers impayés (GLI) ou l'assurance propriétaire n'en occupant (PNO), les intérêts d'emprunt et les impôts non récupérables tels que la taxe foncière.
La majorité des dépenses liées à l'amélioration de l'habitation, à son entretien et aux réparations sont déductibles. Cela peut correspondre à tous les travaux qui ont pour but de remettre le bien en état ou de l'embellir pour faciliter la recherche de locataires. Il s'agit par exemple du changement de la chaudière, de la réfection de la toiture, de la refonte de l'installation électrique ou de la plomberie, de l'installation d'une baignoire ou d'une douche, de la peinture, de la réfection du sol ou de la pose de nouveaux volets...
Les travaux d'amélioration de l'habitat peuvent également venir réduire le montant imposable dans la catégorie des revenus fonciers. Ils correspondent par exemple à l'achat de nouveaux équipements destinés à un meilleur confort, tels que la mise en place d'une VMC dans une salle de bain ou une cuisine, le changement des fenêtres pour de meilleures performances énergétiques ou l'installation d'un ascenseur dans les parties communes.
Les travaux effectués dans les parties communes d'une copropriété sont également déductibles. Mais pas les travaux qui ont été à la charge des locataires. De même, dès que les travaux portent sur une modification conséquente de la structure du bâtiment, ils ne sont plus imputables sur les revenus fonciers. Il s'agit par exemple de l'agrandissement du logement ou du réaménagement total de son agencement intérieur.
Les travaux ne sont pas les seules charges déductibles. Les contribuables peuvent également imputer les frais de gestion et de recherche de locataires, les assurances comme la garantie contre les loyers impayés (GLI) ou l'assurance propriétaire n'en occupant (PNO), les intérêts d'emprunt et les impôts non récupérables tels que la taxe foncière.
Commentaires