SCPI : vers une année record
Si trouver un placement rémunérateur est de plus en plus compliqué, les SCPI semblent tirer leur épingle du jeu encore cette année. D'après l'ASPIM (Association française des Sociétés de Placement Immobilier), 2019 devrait encore être une année exceptionnelle. Ces véhicules d'investissement grands publics affichent à ce stade un taux de distribution annualisé moyen de 4,52% pour 2019, contre 4,35% en 2018 (il s'agit d'un rendement avant impôts). Une performance plutôt séduisante dans le paysage de l'épargne.
Avec le rendement comme argument, rien d'étonnant à ce que les SCPI continuent à séduire les épargnants. Au 30 juin, les Français y avaient déjà placé 4,3 milliards d'euros d'économies, soit presque le double qu'à la même période l'an dernier.
Pour rappel, les SCPI sont des sociétés uniquement dédiées à investir dans l'immobilier. Elles collectent de l'argent auprès d'épargnants en leur vendant des parts, puis l'investissent dans des immeubles. Il s'agit la plupart du temps d'immeubles de bureaux (62%), mais aussi de locaux commerciaux (11%), d'hôtels (7%) ou d'autres actifs comme par exemple des maisons de retraite (EHPAD) ou des logements. Les loyers sont reversés aux porteurs de parts, après déduction des frais de gestion.
Avec le rendement comme argument, rien d'étonnant à ce que les SCPI continuent à séduire les épargnants. Au 30 juin, les Français y avaient déjà placé 4,3 milliards d'euros d'économies, soit presque le double qu'à la même période l'an dernier.
Pour rappel, les SCPI sont des sociétés uniquement dédiées à investir dans l'immobilier. Elles collectent de l'argent auprès d'épargnants en leur vendant des parts, puis l'investissent dans des immeubles. Il s'agit la plupart du temps d'immeubles de bureaux (62%), mais aussi de locaux commerciaux (11%), d'hôtels (7%) ou d'autres actifs comme par exemple des maisons de retraite (EHPAD) ou des logements. Les loyers sont reversés aux porteurs de parts, après déduction des frais de gestion.
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