Société Générale n'a pas échappé à cette vague de correction. La banque française a enregistré la plus forte baisse du CAC 40, son action perdant 5,1 % pour clôturer à 53,64 euros. Ce mouvement de défiance trouve son origine dans les difficultés rencontrées par deux banques régionales américaines, Zions Bancorporation et Western Alliance Bancorp, qui ont toutes deux révélé des pertes importantes liées à des prêts douteux ou frauduleux. Ces annonces ont ravivé les craintes d'une détérioration de la qualité du crédit aux États-Unis, plus de deux ans après la crise de la Silicon Valley Bank au printemps 2023. Si les analystes estiment que les risques apparaissent plus circonscrits cette fois-ci, les investisseurs ont préféré adopter une posture prudente, délaissant massivement les valeurs bancaires à l'échelle mondiale."> Société Générale n'a pas échappé à cette vague de correction. La banque française a enregistré la plus forte baisse du CAC 40, son action perdant 5,1 % pour clôturer à 53,64 euros. Ce mouvement de défiance trouve son origine dans les difficultés rencontrées par deux banques régionales américaines, Zions Bancorporation et Western Alliance Bancorp, qui ont toutes deux révélé des pertes importantes liées à des prêts douteux ou frauduleux. Ces annonces ont ravivé les craintes d'une détérioration de la qualité du crédit aux États-Unis, plus de deux ans après la crise de la Silicon Valley Bank au printemps 2023. Si les analystes estiment que les risques apparaissent plus circonscrits cette fois-ci, les investisseurs ont préféré adopter une posture prudente, délaissant massivement les valeurs bancaires à l'échelle mondiale." /> Société Générale n'a pas échappé à cette vague de correction. La banque française a enregistré la plus forte baisse du CAC 40, son action perdant 5,1 % pour clôturer à 53,64 euros. Ce mouvement de défiance trouve son origine dans les difficultés rencontrées par deux banques régionales américaines, Zions Bancorporation et Western Alliance Bancorp, qui ont toutes deux révélé des pertes importantes liées à des prêts douteux ou frauduleux. Ces annonces ont ravivé les craintes d'une détérioration de la qualité du crédit aux États-Unis, plus de deux ans après la crise de la Silicon Valley Bank au printemps 2023. Si les analystes estiment que les risques apparaissent plus circonscrits cette fois-ci, les investisseurs ont préféré adopter une posture prudente, délaissant massivement les valeurs bancaires à l'échelle mondiale." />