Banksy n'est pas une anomalie du marché
Banksy fait régulièrement parler de lui avec ses passages en salle d'enchères, qu'il le veuille, ou non. A premières vues, l'artiste peut sembler être une exception dans le domaine… Pas tant que cela, quand on y regarde de plus près.
Beaucoup d'artistes urbains se font une renommée sur le marché et cet art devient un réel courant, adopté par nombre d'amateurs d'art. Malgré ses coups d'éclat, l'artiste britannique n'est d'ailleurs "que" le 4ème street artiste en termes de montant des ventes en 2019 avec 24,5 millions de dollars, loin derrière Jean-Michel Basquiat et Kaws, dont les œuvres se sont échangées pour plus de 90 millions de dollars cette année.
Le street art se popularise tellement qu'on ne le retrouve plus seulement dans la rue. Il est maintenant exposé dans des galeries et des musées, comme Jean-Michel Basquiat, exposé à la Fondation Louis Vuitton pendant plusieurs mois. Certains street artistes n'ont même jamais peint dans la rue : cette forme d'art s'adapte et devient une façon de s'exprimer à part entière, « passant de l'illégalité à la légalité, de l'opprobre à la reconnaissance, de l'éphémère au pérenne » comme l'explique Françoise Labarthe, auteure de la publication Le street art au carrefour des droits.
Le street art est aujourd'hui une source florissante pour le marché de l'art.
Beaucoup d'artistes urbains se font une renommée sur le marché et cet art devient un réel courant, adopté par nombre d'amateurs d'art. Malgré ses coups d'éclat, l'artiste britannique n'est d'ailleurs "que" le 4ème street artiste en termes de montant des ventes en 2019 avec 24,5 millions de dollars, loin derrière Jean-Michel Basquiat et Kaws, dont les œuvres se sont échangées pour plus de 90 millions de dollars cette année.
Le street art se popularise tellement qu'on ne le retrouve plus seulement dans la rue. Il est maintenant exposé dans des galeries et des musées, comme Jean-Michel Basquiat, exposé à la Fondation Louis Vuitton pendant plusieurs mois. Certains street artistes n'ont même jamais peint dans la rue : cette forme d'art s'adapte et devient une façon de s'exprimer à part entière, « passant de l'illégalité à la légalité, de l'opprobre à la reconnaissance, de l'éphémère au pérenne » comme l'explique Françoise Labarthe, auteure de la publication Le street art au carrefour des droits.
Le street art est aujourd'hui une source florissante pour le marché de l'art.
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