Validez la rentabilité grâce à l'état locatif et aux charges effectives
En premier lieu, vérifiez l'occupation du bâtiment et la solvabilité des locataires grâce à l'analyse de l'état locatif de l'immeuble. Vous pourrez récupérer ce document auprès du vendeur, de son agent ou de son gestionnaire.
L'occupation même partielle du bâtiment peut vous donner un excellent indicateur de la rentabilité de votre future acquisition. En vous basant sur les loyers perçus et les charges réellement payées (charges du bâtiment mais également taxe foncière...), vous pourrez estimer l'intérêt de l'investissement au plus près de la réalité.
Exiger également d'obtenir une copie de tous les baux : déterminer comment fonctionnent les locations en cours est en effet primordial.
D'ordinaire, les baux d'habitation sont signés sous la loi de 1989. Néanmoins il peut subsister, pour des locataires en place depuis très longtemps, des baux sous le régime de la loi de 1948. Dans ce cas, les loyers sont très bas et il est très difficile de donner un congé aux locataires (le propriétaire doit les reloger dans les mêmes conditions, ce qui est bien souvent impossible).
L'existence de ce type de baux doit donc être connue et intégrée dans vos calculs. Cela peut également fournir un argument de baisse du prix.
Enfin, si vous préférez acheter un immeuble vide, il est toujours possible de négocier l'acquisition sous condition suspensive de résolution des baux.
L'occupation même partielle du bâtiment peut vous donner un excellent indicateur de la rentabilité de votre future acquisition. En vous basant sur les loyers perçus et les charges réellement payées (charges du bâtiment mais également taxe foncière...), vous pourrez estimer l'intérêt de l'investissement au plus près de la réalité.
Exiger également d'obtenir une copie de tous les baux : déterminer comment fonctionnent les locations en cours est en effet primordial.
D'ordinaire, les baux d'habitation sont signés sous la loi de 1989. Néanmoins il peut subsister, pour des locataires en place depuis très longtemps, des baux sous le régime de la loi de 1948. Dans ce cas, les loyers sont très bas et il est très difficile de donner un congé aux locataires (le propriétaire doit les reloger dans les mêmes conditions, ce qui est bien souvent impossible).
L'existence de ce type de baux doit donc être connue et intégrée dans vos calculs. Cela peut également fournir un argument de baisse du prix.
Enfin, si vous préférez acheter un immeuble vide, il est toujours possible de négocier l'acquisition sous condition suspensive de résolution des baux.
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