L'Ile de France reste une région phare pour investir
Malgré le confinement, l'Ile de France continue d'obtenir les faveurs des locataires et des personnes souhaitant investir dans le locatif. Tout simplement car elle reste la première région économique du pays. Avec plus de 12 millions d'habitants (près de 20% de la population française), elle est au carrefour des échanges européens et mondiaux et accueille par conséquent les sièges de nombreuses entreprises, de la TPE à multinationales.
La pression sur le marché du logement y reste donc très forte, et les prix plus élevés en moyenne que dans la majeure partie de la France. Mais toutes les communes franciliennes ne sont pas forcément d'emblée le lieu d'un bon investissement locatif. C'est notamment le cas à Paris, où les prix sont si élevés qu'ils ont fait baisser considérablement la rentabilité des logements.
Bien que les Notaires du Grand Paris annoncent qu'une « stagnation des prix semble se dessiner dans la capitale » dans leur communiqué du 29 juillet, avec 10.700 euros par m2 et un loyer moyen à 26,2 / m2 euros selon Clameur, les candidats à l'investissement peuvent difficilement espérer dépasser une rentabilité annuelle brute de 3% brut, voire beaucoup moins pour des petites surfaces. L'ouest de la petite couronne tend à prendre le même chemin.
A lire : Toulouse : l'impact de la crise sur l'immobilier et les crédits devrait être mesuré
La pression sur le marché du logement y reste donc très forte, et les prix plus élevés en moyenne que dans la majeure partie de la France. Mais toutes les communes franciliennes ne sont pas forcément d'emblée le lieu d'un bon investissement locatif. C'est notamment le cas à Paris, où les prix sont si élevés qu'ils ont fait baisser considérablement la rentabilité des logements.
Bien que les Notaires du Grand Paris annoncent qu'une « stagnation des prix semble se dessiner dans la capitale » dans leur communiqué du 29 juillet, avec 10.700 euros par m2 et un loyer moyen à 26,2 / m2 euros selon Clameur, les candidats à l'investissement peuvent difficilement espérer dépasser une rentabilité annuelle brute de 3% brut, voire beaucoup moins pour des petites surfaces. L'ouest de la petite couronne tend à prendre le même chemin.
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