Selon le commentaire d’Antoine Fraysse-Soulier, responsable de l'analyse de marchés chez eToro, les indices financiers américains ont retrouvé une dynamique positive la semaine passée. Les données relatives à l’inflation, bien qu'en légère augmentation, ont confirmé une tendance à la stabilisation globale.
Le secteur des valeurs technologiques a particulièrement brillé, NVIDIA et Microsoft ayant enregistré de nouveaux sommets en Bourse suite à la publication de l'indice des prix à la consommation aux États-Unis. Ce dernier a révélé une hausse passant de 3,1% en novembre à 3,4% en décembre. Malgré cela, les prix demeurent dans une fourchette maintenue entre 3 et 3,5% depuis plusieurs mois.
De plus, les investisseurs pouvaient se montrer rassurés devant le léger recul observé dans l'indice des prix à la production. Ces données soutiennent l’anticipation d'une baisse des taux par la Réserve fédérale américaine, avec une probabilité estimée à 70% pour le mois de mars selon le CME FedWatch Tool.
En Europe, la tendance positive est également notable, bien que plus modérée. Le CAC 40 a enregistré une hausse de 0,6% sur la semaine, impulsée par des gains notables dans le secteur industriel, avec des entreprises telles qu'Airbus qui a vu son cours grimper de 6,8%, atteignant ainsi un sommet historique, et Dassault Systèmes avec une augmentation de 6,6%.
Cependant, un élément perturbateur vient contrecarrer cette dynamique : la dégradation de la situation géopolitique. Les frappes ciblées menées par les États-Unis et le Royaume-Uni en mer Rouge, bien qu'ayant pour but de protéger le trafic maritime des attaques de drones, ont induit une hausse des prix du transport.
Les marchés américains observeront une fermeture le jour de la célébration de Martin Luther King, laissant ainsi place aux indicateurs économiques prévus pour la semaine, notamment les ventes au détail de décembre et l'indice de confiance des consommateurs de l'Université du Michigan. Les attentes se portent également sur les résultats des grandes entreprises bancaires et autres multinationales qui seront révélés dans les jours à venir.
Ces évolutions interviennent dans une période de grande incertitude économique mondiale, avec une pandémie qui persiste et des tensions géopolitiques qui ne cessent de se complexifier. Les marchés, tout en restant sensibles aux nouvelles économiques, semblent désormais être en quête d'équilibre entre croissance et stabilité.
Le secteur des valeurs technologiques a particulièrement brillé, NVIDIA et Microsoft ayant enregistré de nouveaux sommets en Bourse suite à la publication de l'indice des prix à la consommation aux États-Unis. Ce dernier a révélé une hausse passant de 3,1% en novembre à 3,4% en décembre. Malgré cela, les prix demeurent dans une fourchette maintenue entre 3 et 3,5% depuis plusieurs mois.
De plus, les investisseurs pouvaient se montrer rassurés devant le léger recul observé dans l'indice des prix à la production. Ces données soutiennent l’anticipation d'une baisse des taux par la Réserve fédérale américaine, avec une probabilité estimée à 70% pour le mois de mars selon le CME FedWatch Tool.
En Europe, la tendance positive est également notable, bien que plus modérée. Le CAC 40 a enregistré une hausse de 0,6% sur la semaine, impulsée par des gains notables dans le secteur industriel, avec des entreprises telles qu'Airbus qui a vu son cours grimper de 6,8%, atteignant ainsi un sommet historique, et Dassault Systèmes avec une augmentation de 6,6%.
Cependant, un élément perturbateur vient contrecarrer cette dynamique : la dégradation de la situation géopolitique. Les frappes ciblées menées par les États-Unis et le Royaume-Uni en mer Rouge, bien qu'ayant pour but de protéger le trafic maritime des attaques de drones, ont induit une hausse des prix du transport.
Les marchés américains observeront une fermeture le jour de la célébration de Martin Luther King, laissant ainsi place aux indicateurs économiques prévus pour la semaine, notamment les ventes au détail de décembre et l'indice de confiance des consommateurs de l'Université du Michigan. Les attentes se portent également sur les résultats des grandes entreprises bancaires et autres multinationales qui seront révélés dans les jours à venir.
Ces évolutions interviennent dans une période de grande incertitude économique mondiale, avec une pandémie qui persiste et des tensions géopolitiques qui ne cessent de se complexifier. Les marchés, tout en restant sensibles aux nouvelles économiques, semblent désormais être en quête d'équilibre entre croissance et stabilité.
Commentaires (3)
C'est quand même dingue ça, même avec l'inflation qui joue les trouble-fêtes, ces sacrés marchés ne cessent de grimper. Peut-être que ce n'est pas si mauvais signe, après tout, non ?
C'est toujours la même histoire avec ces marchés, ils sont imprévisibles au possible. Un coup ils s'inquiète de l'inflation, l'autre ils se remettent à grimper malgré elle. Faudrait savoir !
C'est quand même incroyable, cette inflation aux US qui fait trembler tout le monde, et pourtant le marché qui grimpe comme si de rien n'était ! Ça montre bien que la résilience du marché est solide. Le monde de la bourse est définitivement un monde à part, il faut toujours s'attendre à l'inattendu.