Les clients des assureurs fragilisés
La pandémie que nous désignons désormais sous le terme générique COVID-19 se traduit par une mise à l'arrêt de 50 % des activités économiques de l'hexagone. Et nombreuses sont les entreprises qui peinent à faire face à leurs charges fixes. Toutefois, plusieurs mesures de soutien ont été déployées par les pouvoirs publics. Celles-ci s'apparentent à des reports de paiement de cotisations, à la distribution par les banques du PGE (prêt garanti par l'État) ou encore pour certains à la suspension de loyers commerciaux telle que fixée dans l'ordonnance n°2020-316 du 25 mars 2020.
Reste que la crise sanitaire et les mesures de confinement occasionnent une perte de chiffre d'affaires considérable pour la plupart des acteurs économiques. De nombreuses entreprises se sont tout naturellement adressées à leur compagnie d'assurance pour faire valoir cette perte d'exploitation pour laquelle il leur semblait cotiser.
Du côté des particuliers, les sujets d'interrogations ne manquent pas quant à la possibilité de se faire indemniser pour des annulations de voyages ou à obtenir le remboursement de dépenses de santé liées à la contraction de la maladie. L'État est en définitive intervenu auprès des assureurs pour qu'ils assument une part de la sinistralité à laquelle doit faire face le pays. Néanmoins, la participation des assureurs n'est pas si simple à envisager. Les compagnies pourraient elles-mêmes se retrouver fragilisées par l'ampleur de la crise.
Reste que la crise sanitaire et les mesures de confinement occasionnent une perte de chiffre d'affaires considérable pour la plupart des acteurs économiques. De nombreuses entreprises se sont tout naturellement adressées à leur compagnie d'assurance pour faire valoir cette perte d'exploitation pour laquelle il leur semblait cotiser.
Du côté des particuliers, les sujets d'interrogations ne manquent pas quant à la possibilité de se faire indemniser pour des annulations de voyages ou à obtenir le remboursement de dépenses de santé liées à la contraction de la maladie. L'État est en définitive intervenu auprès des assureurs pour qu'ils assument une part de la sinistralité à laquelle doit faire face le pays. Néanmoins, la participation des assureurs n'est pas si simple à envisager. Les compagnies pourraient elles-mêmes se retrouver fragilisées par l'ampleur de la crise.
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