Une forte demande locative pour les studios et T2
Avec la pandémie de Covid 19, le marché immobilier parisien a été quelque peu bousculé. Le départ de la clientèle internationale et l'absence de touristes ont notamment pesé sur le prix des grands appartements et sur ceux loués sur la base du modèle Airbnb.
Par ricochet, un grand nombre de propriétaires de biens destinés à l'origine à la location meublée ont souhaité faire machine arrière et ont proposé leurs biens à la location classique, c'est-à-dire non meublé dans le cadre d'un bail en loi de 1989. S'en est suivie une augmentation de l'offre de biens à louer et un plus grand choix pour les candidats à la location.
Malgré ces secousses, la demande locative reste toujours supérieure à l'offre dans la capitale. Si, après le premier confinement, certains professionnels misaient sur un départ massif des Parisiens vers les banlieues et la province grâce au télétravail, ces mouvements semblent aujourd'hui concerner surtout des familles qui cherchent plus d'espace pour loger leurs enfants. Sur le marché de la location, Paris reste attractive notamment pour les étudiants et les jeunes actifs.
Cette forte demande a plusieurs conséquences : d'une part, les studios et 2 pièces continuent de se louer rapidement et restent peu de temps sur le marché. Le taux de vacance demeure faible entre deux locataires, ce qui a de quoi rassurer les propriétaires qui effectuent un investissement locatif.
La capitale reste donc attractive pour les investisseurs immobiliers qui recherchent un placement patrimonial. Comme tend à le confirmer la période que nous traversons, Paris reste d'ordinaire à l'abri des fortes fluctuations du marché immobilier, et son dynamisme laisse présager une certaine stabilité pour les années qui viennent.
Par ricochet, un grand nombre de propriétaires de biens destinés à l'origine à la location meublée ont souhaité faire machine arrière et ont proposé leurs biens à la location classique, c'est-à-dire non meublé dans le cadre d'un bail en loi de 1989. S'en est suivie une augmentation de l'offre de biens à louer et un plus grand choix pour les candidats à la location.
Malgré ces secousses, la demande locative reste toujours supérieure à l'offre dans la capitale. Si, après le premier confinement, certains professionnels misaient sur un départ massif des Parisiens vers les banlieues et la province grâce au télétravail, ces mouvements semblent aujourd'hui concerner surtout des familles qui cherchent plus d'espace pour loger leurs enfants. Sur le marché de la location, Paris reste attractive notamment pour les étudiants et les jeunes actifs.
Cette forte demande a plusieurs conséquences : d'une part, les studios et 2 pièces continuent de se louer rapidement et restent peu de temps sur le marché. Le taux de vacance demeure faible entre deux locataires, ce qui a de quoi rassurer les propriétaires qui effectuent un investissement locatif.
La capitale reste donc attractive pour les investisseurs immobiliers qui recherchent un placement patrimonial. Comme tend à le confirmer la période que nous traversons, Paris reste d'ordinaire à l'abri des fortes fluctuations du marché immobilier, et son dynamisme laisse présager une certaine stabilité pour les années qui viennent.
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