Le cadre légal du Luxembourg offre une sécurité juridique
L'assurance-vie luxembourgeoise est accessible aux épargnants Français qui disposent de fonds conséquents à placer. Ces contrats fonctionnent de la même manière que les assurances-vie françaises, avec toutefois quelques spécificités qui peuvent les rendre attrayants. Toutes les caractéristiques détaillées sont expliquées dans un livre blanc édité par Life insurance 360.
Si ces contrats ont plutôt bonne réputation, c'est d'abord grâce au cadre juridique offert par le Grand-duché. En France, les fonds déposés sur un contrat d'assurance-vie sont gérés directement par l'assureur. Au Luxembourg, il existe une « triangulaire », qui dissocie l'entité qui conserve les fonds de l'entité qui les gère.
Une convention est signée entre la compagnie d'assurance chez laquelle est souscrit le contrat, une banque dépositaire qui conserve les fonds et l'autorité de contrôle locale, le Commissariat aux assurances (CAA). Ce système est assez rassurant, puisqu'il permet aux investisseurs de récupérer leurs avoirs en cas de défaillance de la compagnie d'assurance.
Attention, il ne s'agit pas d'une garantie en capital, les fonds placés subissent toujours le risque de perte puisqu'ils sont investis sur les marchés financiers ou dans du non coté. Mais ce système assure aux souscripteurs d'être au premier rang des créanciers en cas de faillite de l'assureur. En France, les fonds ne sont garantis qu'à hauteur de 70.000 euros par client et par établissement. Ce qui reste court pour les particuliers éligibles à ce type d'investissement, puisque le ticket d'entrée est particulièrement élevé.
Si ces contrats ont plutôt bonne réputation, c'est d'abord grâce au cadre juridique offert par le Grand-duché. En France, les fonds déposés sur un contrat d'assurance-vie sont gérés directement par l'assureur. Au Luxembourg, il existe une « triangulaire », qui dissocie l'entité qui conserve les fonds de l'entité qui les gère.
Une convention est signée entre la compagnie d'assurance chez laquelle est souscrit le contrat, une banque dépositaire qui conserve les fonds et l'autorité de contrôle locale, le Commissariat aux assurances (CAA). Ce système est assez rassurant, puisqu'il permet aux investisseurs de récupérer leurs avoirs en cas de défaillance de la compagnie d'assurance.
Attention, il ne s'agit pas d'une garantie en capital, les fonds placés subissent toujours le risque de perte puisqu'ils sont investis sur les marchés financiers ou dans du non coté. Mais ce système assure aux souscripteurs d'être au premier rang des créanciers en cas de faillite de l'assureur. En France, les fonds ne sont garantis qu'à hauteur de 70.000 euros par client et par établissement. Ce qui reste court pour les particuliers éligibles à ce type d'investissement, puisque le ticket d'entrée est particulièrement élevé.
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