Un enchaînement de violences inadmissibles
Le Président de la République est d'abord revenu sur les violences qui ont secoué le pays depuis le 24 novembre, en affirmant qu'elles "ne bénéficieraient d'aucune indulgence". Si aucune ne peut être justifiée selon lui, les colères exprimées par les français sont "sincères", "profondes", et "justes à bien des égards". Elles sont le résultat de "40 années de malaises", dont il admet prendre "une part de responsabilité".
Emmanuel Macron a en effet procédé à une sorte de mea cupla, en précisant avoir conscience qu'il ait pu blesser à certains moments. Il affirme cependant s'être toujours battu pour la France, tout en réaffirmant sa légitimité à la tête de l'Etat.
Le chef de l'Etat ne cache pas ses inquiétudes, évoquant une éventuelle perte de la liberté d'expression : "quand la violence se déchaîne, la liberté cesse", un "peuple se divise à ce point court à sa perte".
Emmanuel Macron a en effet procédé à une sorte de mea cupla, en précisant avoir conscience qu'il ait pu blesser à certains moments. Il affirme cependant s'être toujours battu pour la France, tout en réaffirmant sa légitimité à la tête de l'Etat.
Le chef de l'Etat ne cache pas ses inquiétudes, évoquant une éventuelle perte de la liberté d'expression : "quand la violence se déchaîne, la liberté cesse", un "peuple se divise à ce point court à sa perte".
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