L'impact sur la biodiversité, nouveau critère de sélection des fonds d'investissement
Depuis ses débuts, la société Goodvest se distingue par son engagement en faveur de la finance verte. La société propose une sélection de supports via son assurance-vie et son PER, choisis selon des critères d'exclusion sectorielle et d'impact climatique. Pour les particuliers en quête de supports respectant certains de ces enjeux, ce panel offre une analyse objective précieuse.
La start-up a récemment enrichi sa méthodologie de sélection des fonds d'un « troisième pilier : l’impact sur la biodiversité ». « Les enjeux climatiques et la préservation de la biodiversité sont intimement liés, ce qui nous impose d'intégrer l'impact sur la biodiversité dans nos critères de sélection. C'est une nouvelle preuve de notre ambition d'offrir aux épargnants français des solutions d'investissement qui génèrent des retours financiers tout en contribuant à la résolution des crises environnementales majeures de notre temps », explique Joseph Choueifaty, cofondateur de Goodvest.
En partenariat avec Carbon4Finance et CDC Biodiversité, Goodvest utilise donc désormais la base de données BIA-GBS pour évaluer un « score de biodiversité » des entreprises. Les supports sélectionnés prennent désormais en compte les pressions exercées sur la biodiversité et les écosystèmes, telles que l'artificialisation des sols, l'occupation et la pollution des terres et des espaces aquatique par les entreprises financées.
La start-up a récemment enrichi sa méthodologie de sélection des fonds d'un « troisième pilier : l’impact sur la biodiversité ». « Les enjeux climatiques et la préservation de la biodiversité sont intimement liés, ce qui nous impose d'intégrer l'impact sur la biodiversité dans nos critères de sélection. C'est une nouvelle preuve de notre ambition d'offrir aux épargnants français des solutions d'investissement qui génèrent des retours financiers tout en contribuant à la résolution des crises environnementales majeures de notre temps », explique Joseph Choueifaty, cofondateur de Goodvest.
En partenariat avec Carbon4Finance et CDC Biodiversité, Goodvest utilise donc désormais la base de données BIA-GBS pour évaluer un « score de biodiversité » des entreprises. Les supports sélectionnés prennent désormais en compte les pressions exercées sur la biodiversité et les écosystèmes, telles que l'artificialisation des sols, l'occupation et la pollution des terres et des espaces aquatique par les entreprises financées.
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