Une chute du volume des ventes après un pic historique il y a seulement un an
La hausse des taux conséquente imposée depuis 2022 par la Banque Royale du Canada a provoqué de fortes turbulences sur le marché immobilier au Québec. Passé d'un niveau proche de zéro à 4,25% en une année, ils ont entraîné un blocage du marché. Les démarches pour trouver le meilleur taux hypothécaire ont été rendues plus difficiles.
En janvier 2023, le Québec a ainsi subi une chute historique du nombre de biens vendus. La tendance s'est poursuivie en mai, avec 25,7% de ventes en moins qu'un an auparavant, selon les statistiques du gouvernement du Québec. La région de Montréal a par exemple affiché une baisse de 8 % du volume, et une étude de Terram a mis en évidence une chute de 90% du nombre de transaction par rapport à janvier 2022 sur l'île de Montréal.
Ces dernières années, les prix avaient particulièrement bondi, notamment ceux des maisons, avec un pic en avril 2022. Leur prix moyen avait atteint plus de 815.000 dollars en 2022, soit une hausse de plus de 20% en tout juste une année et d'environ 50% depuis 2020. Depuis, ils encaissent une baisse pour le 3ème trimestre consécutif, atteignant -15%. Ils restent cependant toujours supérieurs à la période d'avant Covid.
En janvier 2023, le Québec a ainsi subi une chute historique du nombre de biens vendus. La tendance s'est poursuivie en mai, avec 25,7% de ventes en moins qu'un an auparavant, selon les statistiques du gouvernement du Québec. La région de Montréal a par exemple affiché une baisse de 8 % du volume, et une étude de Terram a mis en évidence une chute de 90% du nombre de transaction par rapport à janvier 2022 sur l'île de Montréal.
Ces dernières années, les prix avaient particulièrement bondi, notamment ceux des maisons, avec un pic en avril 2022. Leur prix moyen avait atteint plus de 815.000 dollars en 2022, soit une hausse de plus de 20% en tout juste une année et d'environ 50% depuis 2020. Depuis, ils encaissent une baisse pour le 3ème trimestre consécutif, atteignant -15%. Ils restent cependant toujours supérieurs à la période d'avant Covid.
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