Le mardi 14 avril, les cours de l'once d'or ont inscrit un plus haut depuis 2013 à 1.746 dollars. Après avoir chuté à la mi-mars pendant le pic de stress sur les marchés, les cours du métal doré ont donc retrouvé les faveurs des investisseurs.
Au mois de mars, l'once d'or s'était replié car, dans la panique générale du krach boursier, les investisseurs avaient dû liquider leurs positions en or pour lever du cash dans la précipitation et répondre à leurs appels de marge.
Cependant, de nombreux facteurs plaident en faveur d'une hausse durable du métal précieux.
Tout d'abord, l'or ne génère ni dividende, ni coupon, contrairement aux actions et aux obligations, par conséquent plus les taux d'intérêts sont proches de zéro, voir négatifs, plus cela rend l'achat d'or intéressant.
Or, en raison de la crise actuelle, les banques centrales ont réduit drastiquement leurs taux directeurs, ce qui a mécaniquement fait baisser les taux d'intérêts rendant les obligations moins attractives. Il en est de même pour les actions, qui ont perdu en moyenne entre 20 et 30% et dont les dividendes, pour certaines, vont être supprimés.
Ensuite, l'or devrait profiter du jeu entre l'offre et la demande. La demande globale se renforce, les banques centrales continuent d'alimenter leurs réserves en or. En 2018, c'est 651 tonnes qui ont été achetées, un record, aux premiers rangs desquelles se placent la Russie, l'Inde et la Chine. Les investisseurs institutionnels ne sont pas en reste, au 1er trimestre les ETF adossés au métal jaune ont enregistré un record historique avec 23 milliards de dollars de flux entrants, selon le Conseil Mondial de l'or.
L'ensemble de ces éléments, sans compter que l'or comme l'ensemble des métaux précieux jouent un rôle de valeur refuge, devrait permettre à l'once d'or de bien se comporter lors des prochains mois qui s'annoncent très volatils sur les marchés. Les plus hauts historiques à 1.910 dollars atteints en août 2011 ne sont plus très loin.
Au mois de mars, l'once d'or s'était replié car, dans la panique générale du krach boursier, les investisseurs avaient dû liquider leurs positions en or pour lever du cash dans la précipitation et répondre à leurs appels de marge.
Cependant, de nombreux facteurs plaident en faveur d'une hausse durable du métal précieux.
Tout d'abord, l'or ne génère ni dividende, ni coupon, contrairement aux actions et aux obligations, par conséquent plus les taux d'intérêts sont proches de zéro, voir négatifs, plus cela rend l'achat d'or intéressant.
Or, en raison de la crise actuelle, les banques centrales ont réduit drastiquement leurs taux directeurs, ce qui a mécaniquement fait baisser les taux d'intérêts rendant les obligations moins attractives. Il en est de même pour les actions, qui ont perdu en moyenne entre 20 et 30% et dont les dividendes, pour certaines, vont être supprimés.
Ensuite, l'or devrait profiter du jeu entre l'offre et la demande. La demande globale se renforce, les banques centrales continuent d'alimenter leurs réserves en or. En 2018, c'est 651 tonnes qui ont été achetées, un record, aux premiers rangs desquelles se placent la Russie, l'Inde et la Chine. Les investisseurs institutionnels ne sont pas en reste, au 1er trimestre les ETF adossés au métal jaune ont enregistré un record historique avec 23 milliards de dollars de flux entrants, selon le Conseil Mondial de l'or.
L'ensemble de ces éléments, sans compter que l'or comme l'ensemble des métaux précieux jouent un rôle de valeur refuge, devrait permettre à l'once d'or de bien se comporter lors des prochains mois qui s'annoncent très volatils sur les marchés. Les plus hauts historiques à 1.910 dollars atteints en août 2011 ne sont plus très loin.
Commentaires