🧭 24 H Chrono !

Le courtier digital s’appuie sur l’IA pour accélérer radicalement le montage de prêts immobiliers.
→ Ce que ça change concrètement
Dans un contexte où obtenir un prêt immobilier est souvent synonyme de parcours du combattant, Pretto mise sur l’intelligence artificielle pour réduire les frictions. Analyse automatisée des bulletins de salaire, des relevés bancaires ou même du compromis de vente : l’IA extrait en quelques secondes les données essentielles à la constitution d’un dossier.

→ Pourquoi c’est utile pour les emprunteurs
Résultat : là où un courtier mettait une semaine à transmettre le dossier complet aux banques, Pretto le boucle en moins de 24 heures. Le client bénéficie en plus d’un meilleur suivi, puisque l’IA libère du temps pour la relation humaine.

→ Les banques s’y mettent aussi
BNP Paribas, par exemple, a réduit le délai entre l’accord et l’édition du prêt à 6 jours, grâce à l’IA. Objectif 2026 : 3 jours pour les dossiers simples.

UBS prévoit une poursuite modérée mais durable du repli de la devise américaine.
→ Les causes du recul
La croissance américaine ralentit, le chômage remonte (4,8 % attendus), l’inflation repart légèrement à la hausse. Dans ce contexte, la Fed devrait abaisser ses taux de 100 points de base d’ici mi-2026, ce qui fragilise naturellement le dollar.

→ Des anticipations déjà intégrées
La plupart des mauvaises nouvelles sont déjà dans les prix. UBS prévoit une dépréciation du dollar de quelques pourcents, mais rien de spectaculaire sauf en cas de choc macro majeur.

→ Ce que ça implique pour les investisseurs
L’euro reste la valeur refuge sur la paire EUR/USD (objectif : 1,15 à 1,20). UBS recommande d’alléger l’exposition au dollar et de renforcer la couverture, notamment via des devises comme la NOK ou l’AUD.

L’Insee révèle une France silencieuse : celle des grandes maisons trop vides.
→ Le chiffre marquant
Un quart des résidences principales en France sont en situation de sous-occupation très accentuée, avec au moins trois pièces « en trop ». Cela concerne 7,6 millions de logements, surtout des maisons individuelles de plus de 100 m².

→ Un profil bien identifié
Ce sont souvent des seniors propriétaires, seuls ou en couple, installés depuis longtemps. 60 % des ménages concernés ont plus de 60 ans, vivent dans des maisons construites avant 1970… et n’envisagent pas de déménager.

→ Ce que cela dit du marché
Ce phénomène accentue la rareté de l’offre adaptée, fige le parcours résidentiel et pèse sur les politiques de logement. Mais beaucoup de ces occupants ne ressentent pas de besoin de changer: attachement au lieu, hospitalité, confort.

Le baromètre PraxiFinance alerte sur les nouveaux refus bancaires pour des besoins patrimoniaux.
→ Une exclusion silencieuse
Avoir un bien immobilier n’est plus suffisant. En 2025, 81 % des demandes de financement sont refusées par les banques, non pour défaut de solvabilité, mais par inadaptation aux normes (âge, profil, objet du prêt).

→ Les cas les plus courants
Transmission bloquée, soulte successorale, dette fiscale urgente, aide familiale, travaux lourds… Ces besoins ne rentrent pas dans les cases du crédit classique. Même avec un bien entièrement payé.

→ Les alternatives se structurent
Monétisation du patrimoine : crédit hypothécaire, vente à réméré, complément de prix. Des solutions encadrées qui permettent de mobiliser un capital existant sans vendre, pour sauver une entreprise ou aider un proche.

Selon le réseau L’Adresse, le marché redémarre… par à-coups.
→ Une reprise en zigzag
Le premier semestre 2025 marque une hausse de 15 % des compromis signés par rapport à 2024, selon le réseau. Mais l’activité reste hétérogène : janvier-février très forts, avril-mai plus timides, juin excellent.

→ Prix : pas de flambée
67 % des agences observent une stabilisation des prix, 48 % encore des baisses modérées sur des biens avec défauts. Seuls 7 % signalent des hausses, limitées à quelques zones littorales tendues.

→ Acheteurs : retour progressif
Les secundo-accédants (51 %) mènent la danse. Les primo sont de retour aussi, relancés par des taux stabilisés à 3 %. Reste à convaincre les vendeurs d’être réalistes sur les prix.