G7, sommets européens, banques centrales, Etats… Les constats, au fil des derniers évènements prédisaient une montée des risques internationaux. La réalité vient rattraper les prévisions.
En effet, l'environnement international est la cible de contradictions qui limitent les possibilités de croissance, essentiellement provoquées par les poussées protectionnistes. Brandies comme des menaces, elles se caractérisent nettement en Chine et aux Etats-Unis et déroutent les négociations commerciales en cours.
Le Brexit dans ce climat, apparaît comme cumulatif. S'ajoutent aux doutes, les orientations économiques de l'Italie, de l'Espagne, de l'Allemagne qui suscitent de l'attentisme. Donc, un net recule de l'investissement des entreprises.
Jusqu'ici, rien de nouveau, si ce n'est que les obstacles partout s'additionnent et prennent l'allure d'une bombe à retardement. Sur le plan monétaire, les acteurs se montrent souples avec la situation, dépourvus de marges de manoeuvre. Autant d'indicateurs qui encouragent les nations à se replier sur la demande intérieure, particulièrement les pays aux économies dites avancées.
Enfin, dernière preuve d'une conjoncture en berne, l'industrie est à la peine alors que d'autres secteurs moins exposés, sont en dynamique. Dans ce scénario, la France n'est pour le moment pas affectée. Sa demande intérieure est forte. Son commerce extérieur résiste aux tensions protectionnistes et les exportations se poursuivent, notamment avec des livraisons importantes pour la fin 2019 dans le secteur naval et aéronautique. Mais que sera cette hypothèse, si le Brexit n'intervient pas de manière ordonné le 31 octobre ? En effet, il ne faut pas oublier que notre littoral, mais aussi certains secteurs de notre économie nationale pourraient rencontrer des difficultés d'approvisionnement notamment.
En effet, l'environnement international est la cible de contradictions qui limitent les possibilités de croissance, essentiellement provoquées par les poussées protectionnistes. Brandies comme des menaces, elles se caractérisent nettement en Chine et aux Etats-Unis et déroutent les négociations commerciales en cours.
Le Brexit dans ce climat, apparaît comme cumulatif. S'ajoutent aux doutes, les orientations économiques de l'Italie, de l'Espagne, de l'Allemagne qui suscitent de l'attentisme. Donc, un net recule de l'investissement des entreprises.
Jusqu'ici, rien de nouveau, si ce n'est que les obstacles partout s'additionnent et prennent l'allure d'une bombe à retardement. Sur le plan monétaire, les acteurs se montrent souples avec la situation, dépourvus de marges de manoeuvre. Autant d'indicateurs qui encouragent les nations à se replier sur la demande intérieure, particulièrement les pays aux économies dites avancées.
Enfin, dernière preuve d'une conjoncture en berne, l'industrie est à la peine alors que d'autres secteurs moins exposés, sont en dynamique. Dans ce scénario, la France n'est pour le moment pas affectée. Sa demande intérieure est forte. Son commerce extérieur résiste aux tensions protectionnistes et les exportations se poursuivent, notamment avec des livraisons importantes pour la fin 2019 dans le secteur naval et aéronautique. Mais que sera cette hypothèse, si le Brexit n'intervient pas de manière ordonné le 31 octobre ? En effet, il ne faut pas oublier que notre littoral, mais aussi certains secteurs de notre économie nationale pourraient rencontrer des difficultés d'approvisionnement notamment.
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