Les Conventions internationales réservent à l'Etat américain l'imposition des biens immobiliers qui y sont situés. Par conséquent, de tels biens sont exonérés de toute double-imposition, mais les Etats-Unis disposent d'une fiscalité qui induit une imposition différente.
Avec une forte demande locative, des rentabilités intéressantes et une souplesse sur la rédaction des baux, de nombreux Français sont tentés par l'investissement à Miami. Attention cependant à quelques spécificités juridiques.
L'achat ou la vente « en viager » occupé est une un mode de cession immobilière dont les modalités de paiement diffèrent d'une vente classique. En effet, l'intégralité du prix n'est pas payé tout de suite.
Aujourd'hui encadré, l'investissement en résidence de tourisme nécessite de prendre quelques précautions. Mais le jeu peut en valoir la chandelle : un choix judicieux peut permettre d'atteindre des rentabilités de 5 ou 6% par an pour un investissement souvent faible.
Initialement prévue pour perdurer jusqu'en 2017, la loi Girardin a pris fin en 2012. Il est encore possible de bénéficier de cette loi sous certaines conditions, mais de gros points de vigilance sont à surveiller d'abord.
Le dispositif Duflot permet une réduction d'impôts : 29% du prix de revient du logement étalée sur 9 ans (300 000 € maximum). Mais ce dispositif est applicable en Outre-Mer et est 10% supérieur au Duflot classique.
Mise de départ réduite, rentabilité intéressante, souplesse dans la gestion… Même si, a priori, il ne fait pas rêver, l'investissement dans les parkings a tout l'air d'un placement idéal… si l'on respecte certaines règles.
Comme tout investissement, acquérir un immeuble en bloc nécessite de procéder à quelques vérifications et validations.
Le mieux pour acquérir un immeuble en bloc est comme toujours de favoriser les zones urbanisées où la demande locative est la plus forte : centre-ville, proximité des transports, des commerces et des centres d'intérêts.
Le vendeur peut désormais se charger d'effectuer les travaux que l'acquéreur pourra défiscaliser, grâce à la vente en VIR (Vente d'Immeuble à Rénover).
A quoi doit-on faire attention avant d'investir en nue-propriété ?
Les banques ne considèrent pas l'acquisition en nue-propriété comme courante. Ainsi, il peut se révéler difficile de trouver le financement adéquat, mais il existe d'autres solutions.
Avantages fiscaux de la nue-propriété : réduction ISF et déficit foncier
Le démembrement de propriété est un principe qui, dans le contexte actuel d'augmentation de la fiscalité, semble avoir encore de belles années devant lui.
En investissant en loi Malraux, vous pouvez bénéficier d'une réduction d'impôt entre 22% et 30% du montant des travaux de rénovation, étalés sur la durée du chantier, sans dépasser les 4 ans. Pour cela certains conditions sont à respecter.
Investir en loi Malraux suppose de bien choisir son emplacement et le potentiel locatif doit bien sûr être étudié et validé avec le plus grand soin. Mais quels sont les biens et les travaux éligibles ?
Les résidences étudiantes font parties des résidences dites "gérées", car exploitées par une société commerciale dédiée. Plusieurs petits appartements les composent et sont loués à des étudiants. Cela peut se révéler très intéressant comme placement.
Les loyers perçus dans le cadre de la location meublée sont imposés dans la catégorie des Bénéfices Industriels et Commerciaux (BIC).
Dans certains cas, cela vous permet de réduire vos impôts, dans d'autres vous pouvez récupérer la TVA.
En louant un logement meublé, la fiscalité propose deux statuts en fonction des revenus que vous tirez de cette activité : Loueur en Meublé Non Professionnel (LMNP) et Loueur en Meublé Professionnel (LMP).
Le choix du mode de gestion est tout aussi important que le choix du bien qui vous servira à la location meublée. En effet, il peut avoir des conséquences économiques et fiscales importantes. Ne négligez donc pas cette étape.