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La semaine commence sur fond de défiance : les investisseurs hésitent, les Français doutent de leur système social et se méfient des injonctions sur leur épargne. Pendant ce temps, la Monnaie de Paris réinvente l’or en version moderne, et l’immobilier mondial se fragmente à grande...
Le CAC 40 termine en légère baisse malgré les bons résultats de LVMH et Kering
L’addition invisible des pièces rouges
Entre tensions géopolitiques, ralentissement américain et baisse des taux, UBS identifie cinq grandes forces structurantes pour orienter ses choix d'allocation d'actifs.
Une mésaventure vécue par un particulier révèle les limites de l'information fournie aux épargnants lors de la souscription de produits financiers en ligne.
En ce début de séance du 1er juillet 2025, la Bourse de Paris s'inscrit en légère baisse, le CAC 40 reculant de 0,33 % à 7640,25 points.
Cap sur une nouvelle ère d'investissement : plus agile, plus défensive, mais toujours opportuniste.
Faute de normes adaptées, cette précarité thermique est ignorée par les diagnostics officiels, et touche d'abord les plus vulnérables.
Après une année de pause, le marché des biens haut de gamme retrouve des couleurs. Les acheteurs français reviennent en force.
Le gestionnaire O2 Capital Asset Management lance “Oxygen”, un fonds d'investissement alternatif ciblant des prêts sécurisés à haut rendement.
Les priorités claires : autonomie financière, anticipation de la retraite, et rejet des injonctions publiques sur les placements.
Avec son projet « Bullion », elle proposera dès 2026 une nouvelle offre d'investissement en or fin, à la fois physique et digitalisée.
À partir du 1er juillet 2025, les assureurs devront fournir une estimation claire du coût total d'un contrat obsèques selon l'âge de souscription.
Face à des enfants déjà installés et à des petits-enfants confrontés aux coûts croissants de la vie, sauter une génération lors de la transmission devient une stratégie.
Alors que l'État cherche à combler un déficit de 40 milliards d'euros, un rapport explosif de la Cour des comptes révise à la hausse le coût du pacte Dutreil.
En pleine secousse tarifaire mondiale, les grandes entreprises n'abandonnent pas leurs stratégies de croissance externe.
Dans un marché du travail sous tension, les entreprises font évoluer leur stratégie RH : les avantages salariés deviennent un levier stratégique central pour engager.